Bien que l’île de Vancouver peut sembler petite, elle fait tout de même 460 km de longueur et sa largeur varie de 50 à 80 km. Et elle a quelques sommets de plus de 2000 m et qui sont enneigées. Comme la route y est relativement étroite par endroit, que la vitesse n’y est pas très élevé par moment, les déplacements y sont relativement assez long d’un endroit à un autre. Le temps passe plus vite que les kilomètres parcourus.

Mon objectif de cette journée était d’aller dormir à Tofino, de dormir sur le bord de l’océan Pacifique. Dans l’ensemble la route pour se rendre à Tofino, c’est bien fait à part quelques ennuis pour faire le plein d’essence. En parlant d’essence, il n’y a aucun poste d’essence entre Port Alberni et Tofino (le plus près serait à Ucluelet). C’est environ 85 km. Sinon, pour le reste du trajet fait sur l’île, il n’y a aucun problème de ce côté.

Rendu à Tofino, j’ai eu la mauvaise surprise d’apprendre que tous les terrains de camping étaient tous plein. Même les campings qui n’ont pas de douche dans le parc National du Pacific Rim étaient tous pleins. C’est 7-8 terrains de camping! Ce fût une grande déception pour moi, car c’est quelque chose que j’avais prévu de faire dès le début de ce voyage. J’aurais aimé y rester quelques nuits et profiter de la plage de l’île.

Je venais de faire près 6800 km … lire la suite.




Le camping Brannen Lake Campsite est situé à Nanaimo sur l’île de Vancouver en Colombie-Britannique. Le camping est de de taille moyenne. Le camping est bien, mais sans plus et la propreté des toilettes et des douches pourraient être mieux. Permis tout les terrains de camping visité durant ce voyage, c’est celui où j’ai le plus senti que l’on me mettait à l’écart. Je ne le recommande pas, mais il a un avantage, c’est qu’il n’est pas très loin du traversier qui relie Departure Bay à Horseshoe Bay.

Photos prisent le 24 juillet 2006:

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La route entre Hope et Vancouver se fait très bien. C’est que 140 km qui sépare les 2 villes. Une fois rendu à Vancouver, je me dirige vers Grouse Mountain pour aller voir la ville dans haut. Avec l’aide de mon GPS et les indications clairs, je m’y rend sans problème. Après avoir payer pour le stationnement, je vais à l’admission pour enfin voir la magnifique ville de Vancouver. C’est pas donné (31,75 $ + taxe), mais depuis le temps que je veux voir Vancouver, cela en veut le détour. Une fois l’admission régler au faut patienter. Il n’y a que 2 téléphériques relie le bas de la montagne au haut de la montagne. Le départ se font à tous les demi-heure. Le téléphérique atteint une altitude de 1128 mètres. En marchant, j’ai atteint le sommet le plus rapproché à 1250 m d’altitude, dans l’espoir de mieux voir la ville. Malheureusement pour moi, malgré le beau ciel bleu, complètement dégagé, la vue de la ville était difficile. Il y avait toujours ce petit voile blanc qui recouvrait Vancouver. Comme c’est souvent le cas (et à ce qu’on me dit, même en hiver), il y avait du brouillard au dessus de la ville. Donc, bien que le vue était très bonne sur la ville, rien n’était clair sur la ville. Déçu certes, mais au moins j’aurais enfin vu Vancouver.

Après être descendu de la montagne, temps limité dû au parcomètre, je me dirige vers le Stanley Park, le parc des Vancouvérois comme il dise. Très beau parc situé sur une île situé entre Vancouver et West Vancouver. De là, la vue y est très magnifique et ce pour un maigre 2 $ de l’heure pour le stationnement. Seul hic, c’est que les places de stationnements sont très rare. Mais, la petite pause pour manger est apprécié.

Une fois la pause terminé, j’indique au GPS que je veux voir la Place du Canada, ensuite le General Motors Place (le domicile des Canucks – LNH) et que je veux me rendre au traversier. Le GPS me donne la route et tout va bien. Mais, il ne m’indique pas à chaque fois que je suis rendu à l’arrêt. Je passe donc tous les arrêts intermédiaires pour me rendre au traversier. Il m’a joué un vilain tour, mais bon ce n’est pas si grave. Le chemin qu’il me fait emprunter, gâche un peu la beauté de Vancouver. La route est rempli de câble électriques qui surcharge le « ciel ». C’est vraiment horrible. Mais, c’est câble sont utile, car ils servent pour un autobus électrique. Utile, mais horrible.

Rendu au traversier de Tsawwassen … lire la suite.

Le camping Victoria West KOA est situé à Malahat sur l’île de Vancouver en Colombie-Britannique. Le camping est de taille moyenne avec environ 90 sites. C’est un beau camping très propre et boisé, mais assez cher. Le coût d’une nuit avec électricité est de 35 $ (37,10$ taxe incluse) en 2006. De tous les campings fait durant mon voyage, c’est celui où l’enregistrement y a été la plus compliqué et la plus longue. Une particularité c’est que les douches et les toilettes se trouvent dans une même petite cabane. C’est très bien lorsqu’on prend une douche, car c’est comme avoir une chambre de bain, mais lorsque quelqu’un y est déjà impossible d’aller au toilette.

Photos prisent le 23 juillet 2006:

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La transcanadienne (route 1) passe par les parcs National de Yoho et le parc National des Glaciers. J’aurais aimé allé voir le lac Émauraude, mais comme je voulais être le plus près possible de Vancouver le lendemain, pour prendre le traversier, j’ai sauté cet arrêt. De plus, j’ai trouvé que la signalisation de ce coin n’aidait pas. Les indications sont données qu’une fois arrivé à destination, donc trop tard… Bien que l’on soit dans les rocheuses, la route y est plat. Le route passe dans le bas de la vallée. Contrairement au train qui passe dans des tunnels, la route contourne les montagnes. Les « tunnels » qu’on traverse, sont plus tôt des « abris » contre les éboulements. Il est donc toujours possible de voir dehors à sa gauche lorsqu’on se dirige vers l’ouest.

Deuxième déception de la journée, je n’ai pas trouvé le chemin pour aller voir le barrage hydro-électrique de Revelstoke. J’ai vu de nombreuses indications, mais j’en ai probablement manqué une et cela a été à oublier. Au lieu de revenir sur mes bas, j’ai préféré continué pour aller voir la région Okanagan.

J’emprunte alors la route 97 pour aller vers Penticton, ensuite la route 3A pour aller à Keremeos qui se veut la capitale des kiostes fruitiers. Remonte ensuite par la route 3 vers Princeton… Finalement, j’ai quitté la région Okanagan sans avoir rien vu de spécial. J’ai pas vu de vergers, pas vu de plantations, bref j’ai été extrêmement déçu et encore plus à mon retour. Sachant que ce détour m’a fait raté quelque chose de beau, le canyon Thompson (route 1 entre Savana et Lytton) et cette région plus aride. Je compare le détour que j’ai fait à ce que l’on voit dans les Appalaches en Estrie au Québec. C’est beau, mais rien d’extra. J’ai probablement pas emprunter le bon chemin pour voir cette région, car tout le monde dit que c’est beau… Et moi, j’ai trouvé le passage de Penticton à Princeton très long et ennuyant.

Pour ce qui est de la route entre lac Louise jusqu’à Kelowna cela descend le 3/4 du temps. La perte d’altitude entre celle-ci est de 1200 mètres. Dans les environs de Penticton, il a un très grosse côte qui monte pendant environ 20 km sans répit et qui nous fait gagner 1000 m d’altitude pour atteindre une auteur de 1700 m au-dessus du niveau de la mer. À partir de ce secteur, j’ai vu de nombreux véhicules en surchauffe. La qualité de la route est dans son ensemble très bien et à plusieurs endroits la route avec été refait à neuf lors de mon passage. … lire la suite.

Comme hier pour le lac Louise, mon premier arrêt se fessa au lac Moraine. Comme le célèbre lac, à ce dernier, on doit arriver très tôt pour éviter les foules. (Y aller avant 10 h ou après 17 h) Le lac Moraine est situé à 12 km du village de Lake Louise, il se trouve un peu plus au sud du lac Louise. Pour plusieurs ce lac est encore plus beau que le lac Louise et je dois avouer qu’ils n’ont pas tard. L’eau y est encore plus turquoise que le lac Louise, l’eau y est plus belle. Mais, les montagnes environnantes n’ont pas le même charisme que celui du lac Louise. Mais, un détour s’y impose que par la beauté de son eau. Plusieurs sentiers sillonnent le lac. J’ai parcouru le sentier qui longe le lac, sans m’aventurer plus loin. Le temps m’étant compté, je ne pouvais m’attarder trop longtemps. Un homme est venu me voir si je voulais faire une randonnée avec eux. Car, comme des grizzlis ont été vus, pour s’aventurer dans les sentiers, on doit être en groupe de 6 personnes.

Après avoir quitté le lac Moraine, j’ai pris de nouveau la promenade des Glaciers (route 93) pour aller plus au nord. Mon 2e arrêt su fut au Belvédère du Col-Bow et du lac Peyto. C’est le col routier le plus élevé des 4 parcs des rocheuses canadiennes avec une altitude de 2088 m au-dessus du niveau de la mer. Le lac Peyto est accessible très facile après seulement quelques minutes de marches. Le lac Peyto se trouve beaucoup plus bas que l’endroit où l’on est pour l’observer. Et c’est toujours aussi grandiose. Le lac à la forme d’une tête de loup. Contrairement aux autres lacs que j’ai vus, l’eau de ce dernier est bleu-blanchâtre. Ce qui le différé des autres lacs et en fait un autre incontournable.

3e arrêt de la journée, le canyon Mistaya. Le canyon se trouve à 10 minutes de marche de la route. L’eau s’est engouffrée dans la roche. Avec le bruit de l’eau, ce n’est pas l’endroit des plus reposants. Et en passant, cher parent, surveillez vos enfants. J’en ai vu les laissés si près de l’eau que s’y aurait tombé et vu la vitesse du courant, il aurait été difficile de les retrouver… prudence à cet endroit!

Sur la route, j’ai également fait 2 arrêts pour admirer les magnifiques lacs de Bow et le Mistaya. … lire la suite.

Comme je désirais, demeurez 3 nuits dans le parc National de Banff et voulant un camping avec des douches, je décidai alors de revenir sur mes pas pour alors dormir au camping Mont-Tunnel Village 1 à Banff. Mais, avant d’y, allez et n’étant pas loin du lac Louise, je commençai ma journée là. Comme, il est préférable d’arriver très tôt pour éviter les foules, aussi bien y allé immédiatement. Et ce fut un très bon choix, puisqu’il y avait peu de monde à mon arriver et il y avait de l’espace pour stationner, ce que je n’aurais pu avoir deux heures plus tard. Avec le peu de monde, c’était parfait pour y prendre des photos de cette merveille, le lac Louise. Cette eau turquoise avec ce fond avec montagne enneigée à son charme, il faut bien l’avouer.

Une fois mes nombreuses photos du lac prise, j’empruntai le petit sentier à droite de ce dernier équipé de mon appareil photo et d’eau. Normalement, il ne faut pas s’aventurer seul, mais étant seul, j’étais là pour voir du paysage et ce n’est pas ça qui allait m’arrêter. Et de toute façon, dans le secteur du lac Louise, on est jamais vraiment seul, car il a toujours d’autres personnes qui marchent pas tellement loin devant ou derrière soient. La première partie du sentier est pavé et longe le lac. Par la suite, le sentier monte en montagne, mais est dans son ensemble assez facile d’accès. Je dis assez facile, mais c’est là que je me suis rendu que je ne suis pas en forme. Le souffle me manque par moment, vu que ça monte assez souvent. Peut-être que l’altitude n’aide pas, vu que le village de lac Louise est à 1400 m au-dessus du niveau de la mer et le lac se trouve un peu plus haut.

Sur le petit sentier que j’ai pris on y voit deux lacs plus en hauteur que le lac Louise … lire la suite.

Plus on roule vers l’ouest, plus les prairies font place à des terres plus arides et les « vallons » font place à des collines. Vous verrez également quelques pompes à pétroles sur l’autoroute 1 en Alberta et en Saskachewan.

En direction de Calgary un peu après Medecine Hat, j’ai fait un arrêt à Brooks dans le but de voir l’aqueduc extérieur construit en 1912. Malheureusement, j’ai trouvé les indications difficiles et confuses et j’ai finalement quitté la ville sans l’avoir vu.

J’ai ensuite pris la direction vers Drumheller. Le paysage est encore une fois, fort différent du reste vu jusqu’ici. Les hoodoos (cheminées de fées) ont toujours leur charme. Cette région est également très riche en fossile de dinosaure. Selon les routes la limite de vitesse en Alberta peut variée de 80 km/h à 110 km/h.

Calgary… ville typique nord-américaine. Les routes y sont assez carrées. Et j’ai aimé avoir un GPS dans celle-ci pour mieux m’orienter. La tour de Calgary offre une belle vue sur la ville. J’y ai aimé la vue, mais je n’ai pas aimé laissé ma voiture sans surveillance dans la rue. L’endroit ne me semblait pas très sûr, vu le nombre de sans abri que j’ai croisé dans les rues en plein après-midi. C’est une réalité des grandes villes, mais je n’ai vraiment pas aimé voir ça et mon image de Calgary y est terni. En plus de savoir qu’ils sont plus de 2000 dans cet état. (Entendu à la radio ce qui ne m’a pas aidé également.)

Comme le temps passe très rapidement et que je veux coucher à lac Louise, j’enlève mon arrêt prévu au mont Tree Sisters à Canmore. Dès là, la vue y est magnifique. Les montagnes y sont majestueuses, les rivières sont turquoises… ah que c’est joli le parc National de Banff… … lire la suite.

L’autoroute est en voie double sur pratiquement toute sa longueur au Manitoba. Mais, ce n’est pas toujours le cas en Saskachewan. Par contre, de nombreuses sections d’autoroute sont en construction pour en faire une véritable autoroute. Lorsque la voie est double la limite de vitesse y est de 110 km/h, tandis qu’en voie simple la limite de vitesse descend à 100 km/h. La route passe également par quelques villages. La vue est typique des Prairies. Tout est vallonné et pour voir les « véritables prairies« , il faut quitter la transcanadienne. C’est là qu’on voit que des champs, il en a à perte de vue en Saskachewan. C’est véritablement joli et parfois presque surréaliste. Avec le vent, les champs semble se transformer en mer, vu l’effet de « vagues ». Bizarre comme effet, mais joli.

Mais, quitter la transcanadienne, c’est quitter la route principale. C’est se retrouver isolé. Car, les villages sont très éloigné les un des autres et par le fait même les postes à essences sont pratiquement absent. Et compter pas trouver de l’essence super (91 octane) dans ces petits villages. Parfois, pour réduire la distance entre les routes perpendiculaires, il sera préférable d’emprunter ces chemins de graviers, sans jamais quitter les yeux sur l’aiguille du réservoir d’essence.

C’est beau certes, mais j’ai été déçu de mon détour à St-Victor, car il a absolument rien à voir. Le paysage est différent, mais pour le temps perdu, cela ne compensait pas le trajet effectué. Par contre, la région des Badlands (mauvaises terres) qui commence dans les environs de Willow Bunch semblent fort intéressante. Mais, mon temps limité et surtout la crainte de manqué d’essence m’a poussé à quitté le plus rapidement possible cette région pour retrouvé la transcanadienne. Les prairies c’est beau… mais cela fini par être long. … lire la suite.

La route de Thunder Bay à Kenora est très longue et ennuyante. Comme le reste du parcourt en Ontario la limite de vitesse de 90 km/h, ce qui n’aide pas. Le secteur est très boisé. Par contre tout ceci change rapidement une fois rendu au Manitoba. La route devient alors une autoroute, où la limite de vitesse y est de 110 km/h. Le terrain est très plat et il a peu d’arbre. C’est les prairies! Comme, le vent vient souvent de l’ouest, la consommation d’essence s’en resent un peu, malgré la route sans relief. L’autoroute au Manitoba n’a rien à voir avec ce que l’on a au Québec. Oubliez la bretelle de sortie ou les viaducs sur celle-ci. Ils n’existent pas sauf près de Winnipeg. Il a même des kiostes de fruits sur le bord de l’autoroute!

Trajet du jour 3

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