Parc provincial Porters Lake

Lors de mon voyage en Nouvelle-Écosse en 2009, mon 3e arrêt pour dormir, c’est fait au camping du parc provincial Porters Lake. Le parc se trouve en bordure du lac du même nom et à une demi-heure à l’ouest de la ville de Halifax. Je l’ai choisi pour cette raison et parce qu’il se trouve près de la plage Lawrencetown, une plage de surfeur. De plus lorsque je peux choisir un parc au détriment d’un camping privé je le fais, car on ne se trompe jamais en optant pour un parc qu’il soit provincial ou national. Par contre, il faut oublier le service en français pour les parcs provinciaux de la Nouvelle-Écosse , c’est le 2e que je fais (j’en ai fait 3 au total jusqu’à présent) et aucun n’offre de service dans la langue de Molière. Par contre, un avantage, c’est que tous les parcs ont la même base de données, donc je n’ai eu qu’à donner mon numéro de téléphone, pour que la personne à l’office ait tous mes renseignements.

Seul chemin donnant accès à l'extrémité du parc Porters Lake

Le parc provincial Porters Lake est un petit parc faisant office presque exclusivement de camping et il est pour ainsi dire entouré entièrement du lac Porters. Le parc est divisé en 2 parties et une mince étendue de terre relie ces 2 sections. La section là plus à l’intérieur n’offre que des toilettes sèches comme service. La section principale offre par contre un bâtiment avec toilettes et douches gratuites. Sur les 76 sites que le parc offre, seulement 10 ont comme service l’eau et l’électricité. Pour ma part, je me trouvais dans la boucle principale qui se trouve plus en altitude que la seconde. … lire la suite.

 



Après avoir été marcher en bordure du bassin Minas dans le parc provincial de Five Islands, j’ai repris la route à 8 h 07 en direction du Cap-Breton et pour être plus précis pour le terrain de camping de Chéticamp. Ne sachant pas trop à quelles heures j’allais y arriver, j’avais réservé 2 nuits à ce dernier avant d’entreprendre ce voyage pour être certain d’avoir de la place… et cela n’aurait vraiment pas été nécessaire. Mais bon, revenons au début de cette route qui mène au Cap-Breton. Dès mon départ, du parc provincial de Five Islands, je suis tombé sur une route en construction et j’ai dû y faire un autre 5 km de route sur gravier. Le mal étant fait la veille, ce n’est pas ces 5 km additionnels qui allaient rendre la voiture plus sale qu’elle l’était.

J’arrive ensuite assez rapidement sur la transcanadienne (autoroute 104) dans les environs de Great Village. Que dire de cette autoroute? C’est une belle autoroute où la vitesse permise est de 110 km/h et que, tout comme pour l’autoroute 1 au Nouveau-Brunswick, les haltes routières sont inexistantes. Le passage par Five Islands m’aura évité la section payante de l’autoroute comprise entre Oxford et Great Village (4 $ pour une auto). Pour l’autoroute, elle se fait assez bien, mais pour les véhicules en manque de puissance, sachez qu’il y a de bonnes côtes à monter avant d’arriver au Cap-Breton dans les environs de Barneys River Station, et ce, sur plusieurs kilomètres.

L’autoroute 104 se conclut au Canso Causeway … lire la suite.

En arrivant au camping du parc provincial de Five Islands, la personne à l’accueil m’a remis le guide des parcs provinciaux de Nouvelle-Écosse et elle m’a indiqué les sites dont je pouvais choisir. Après être allé voir les emplacements disponibles, mon choix a été le site 48. Une fois mon choix effectué, je suis retourné à l’accueil pour m’y enregistrer. Tant bien que mal, j’ai fini par réussir à m’inscrire, vu mes difficultés à tout comprendre puisqu’elle ne parlait qu’en anglais. Ce n’était pas la première fois que je devais m’enregistrer en anglais, mais celle-ci a été plutôt difficile. Elle m’a demandé la marque de mon véhicule, mais je ne sais pas si c’est moi qui le prononçais mal, mais elle n’a jamais compris que j’avais une Subaru. Elle a alors choisi de regarder par la fenêtre et elle a reconnu la voiture, du moins c’est ce que je pensais. Oui ce que je pensais, car quelques jours plus tard, j’ai regardé ma facture et elle avait écrit KIA. Aie! Cela fait mal! Une KIA, oui, oui une KIA. Il me semble qu’une Subaru cela ne ressemble pas à une KIA… non? Bref, j’ai eu mon emplacement et j’ai pu y monter ma tente.

Les emplacements étant très grands, ce n’est pas l’espace qui manquait pour monter ma petite tente. Et comme les emplacements de cette section sont en étages, les sites sont relativement plats, ce qui est parfait pour une tente. Comme il était 18 heures passées, c’est l’heure de manger. Commence à préparer mon repas et je vais pour aller me chercher de l’eau au robinet le plus près. Pas d’eau, que de l’air qui sort. Va voir le robinet suivant, même chose. C’est peut-être un problème temporaire, retourne à l’auto de toute façon j’ai de l’eau avec moi. Je prendrais celle-ci pour manger, l’eau reviendra probablement plus tard.

Une fois le souper et la vaisselle faits, il fallait bien que je visite un peu le camping … lire la suite.

Mon voyage vers la Nouvelle-Écosse a commencé réellement le 12 juillet dernier lorsque je me suis levé à 4 h 40 du matin pour faire les derniers préparatifs pour ce voyage de 2-3 mille kilomètres. La veille, j’avais pris soin d’embarquer tout le nécessaire et de prendre soin de ma voiture pour que tout soit parfait pour le départ. Ce samedi matin là, il ne me restait que quelques trucs à embarquer et la glacière. Une fois le déjeuner pris, j’étais prêt à partir vers une nouvelle aventure. Une aventure que j’avais prévu faire l’an dernier, mais à cause des caprices de dame nature, celle-ci avait été remise. La Nouvelle-Écosse allait être la 9e province que j’allais voir, et ce, comme pour les 7 autres visitées précédemment au cours des 3 dernières années, le voyage allait se faire de nouveau en solo.

Pour ce voyage, je disposais d’une semaine, car je désirais aller rejoindre ma famille à Old Orchard Beach, dans l’état du Maine aux États-Unis. Comme pratiquement tous les ans depuis mon plus jeune âge, moi et ma famille avons l’habitude d’y prendre nos vacances et comme cela allait être la première fois pour mon filleul qui allait bientôt avoir 11 mois, il m’était hors de question de rater ça. J’aurais aimé disposé de plus de temps pour ce voyage en Nouvelle-Écosse, mais mes vacances étaient ainsi, une semaine là-bas serait mieux que rien et de plus je ne pouvais pas réellement dire que ce voyage m’attirait énormément avant de partir. Certes, j’étais curieux de faire la Cabot Trail et puis? Une semaine serait probablement amplement suffisante pour tout voir. C’est dans cet esprit que je suis parti à 6 heures moins dix en direction de Moncton. Car mon objectif de cette première journée était d’aller dormir à Moncton. Et la route jusqu’à celle-ci je la connaissais bien, l’ayant fait en 2005. À l’époque par contre, j’avais dormi à Woodstock, soit 250 km plus près de chez moi.

Mon premier arrêt de la journée (8 h 15) est pratiquement devenu une tradition … lire la suite.

Les chutes de Shannon Falls se trouve à Squamish en Colombie-Britannique. Les chutes sont facilement accessible depuis la route Sea to Sky (route 99) qui relie Vancouver à Whistler. Le stationnement des chutes est payant, mais par chance lors de mon passage la machine distributrice était défectueuse, résultat c’était gratuit. Un simple arrêt de 5 à 10 minutes suffit pour faire le tour du petit sentier qui nous permet de voir les chutes sur plus d’un angle. Contrairement à la chute Athabasca dans le parc national de Jasper que je trouvais difficile à voir vu l’angle de vision, cette fois-ci on se retrouve au pied de la chute Shannon Falls, ce qui offre une bien meilleure vue. La chute a une hauteur de 335 mètres. C’est la 3e plus haute chute de la province après celle de Della Falls (481 m) dans le parc provincial de Strathcona sur l’île de Vancouver et celle de Hunlen Falls (396 m) dans le parc provincial Tweedsmuir.

Photos prisent le 25 juillet 2006:

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Le parc provincial Hopewell Rocks en bordure de la baie de Fundy offre une vue sur des rochers qui ont été sculptés avec le temps par la fonte des glaces et aujourd’hui par la force des marées et les conditions climatiques. La baie de Fundy a les plus hautes marées du monde et ceux-ci pouvent atteindre 21 mètres.

Les rochers d’Hopewell Rocks sont accessible à pied lors de la marée basse et en kayac à marée haute. certains rochers ont reçu des noms par le parc, d’autre sont le résultat de mon « imagination ».

Lorsque la marée atteint une certaine hauteur, elle recouvre toute la plage (Photos prisent le 30 juillet 2005)

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Le parc provincial Hopewell Rocks en bordure de la baie de Fundy offre une vue sur des rochers qui ont été sculptés avec le temps par la fonte des glaces et aujourd’hui par la force des marées et les conditions climatiques. La baie de Fundy a les plus hautes marées du monde et ceux-ci pouvent atteindre 21 mètres.

Les rochers d’Hopewell Rocks sont accessible à pied lors de la marée basse et en kayac à marée haute. certains rochers ont reçu des noms par le parc, d’autre sont le résultat de mon « imagination ».

Les photos inclassables d’Hopewell Rocks. (Photos prisent le 30 juillet 2005)

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Le parc provincial Hopewell Rocks en bordure de la baie de Fundy offre une vue sur des rochers qui ont été sculptés avec le temps par la fonte des glaces et aujourd’hui par la force des marées et les conditions climatiques. La baie de Fundy a les plus hautes marées du monde et ceux-ci pouvent atteindre 21 mètres.

Les rochers d’Hopewell Rocks sont accessible à pied lors de la marée basse et en kayac à marée haute. certains rochers ont reçu des noms par le parc, d’autre sont le résultat de mon « imagination ».

Photos des falaises d’Hopewell Rocks celles-ci vont de 15 à 30 mètres de hauteurs. (Photos prisent le 30 juillet 2005)

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Le parc provincial Hopewell Rocks en bordure de la baie de Fundy offre une vue sur des rochers qui ont été sculptés avec le temps par la fonte des glaces et aujourd’hui par la force des marées et les conditions climatiques. La baie de Fundy a les plus hautes marées du monde et ceux-ci pouvent atteindre 21 mètres.

Les rochers d’Hopewell Rocks sont accessible à pied lors de la marée basse et en kayac à marée haute. certains rochers ont reçu des noms par le parc, d’autre sont le résultat de mon « imagination ».

Plage des Demoiselles (Photos prisent le 30 juillet 2005)

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Le parc provincial Hopewell Rocks en bordure de la baie de Fundy offre une vue sur des rochers qui ont été sculptés avec le temps par la fonte des glaces et aujourd’hui par la force des marées et les conditions climatiques. La baie de Fundy a les plus hautes marées du monde et ceux-ci pouvent atteindre 21 mètres.

Les rochers d’Hopewell Rocks sont accessible à pied lors de la marée basse et en kayac à marée haute. certains rochers ont reçu des noms par le parc, d’autre sont le résultat de mon « imagination ».

La pomme (Photo prise le 30 juillet 2005)

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