Les photos prisent le 29 juillet 2007 à Percé et à Carleton-sur-Mer viennent d’être ajouté. Comme vous pourrez le constater la météo aura été loin d’être la même au 2 endroits. À mon arrivées à Percé, il pleuvait beaucoup. Ne retenant pas mon courage , j’ai été rendre visite au plus célèbre rocher de la Gaspésie, le rocher Percé. C’était la première fois en 15 ans que j’y mettais les pieds. Sachant l’heure de la marée basse avant mon arrivé à Percé, j’arriva au meilleur moment pour atteindre le rocher sans se mouiller les pieds. Seule la météo aura gâché la visite et aura eu raison de mon parapluie. Au moment de mon départ, le ciel commençait à se dégagé tranquillement, mais trop tard, je devais continuer ma route et de toute façon la marée serait probablement haute lorsque le beau temps sera de la partie.

Autant, il faisait mauvais à Percé, autant le beau temps était au rendez-vous à Carleton-sur-Mer. J’avais 12 ans à l’époque lorsque j’avais vu se camping depuis la route (vu qu’on s’était pas arrêté) et 15 ans plus tard je me rappelais de se dernier. J’en aurais rêvé longtemps, mais le 29 juillet 2007, j’y aurais enfin dormi. J’aurais enfin dormi sur le bord de la mer (la Baie-des-Chaleurs dans ce cas-ci situé dans le Golf du St-Laurent), une chose que je n’avais malheureusement pas pu faire à Tofino en Colombie-Britannique sur les rives de l’océan Pacifique.

J’arrête sur ce et j’en écriverai un peu plus un de ces jours… place à présent aux photos.

La falaise vue depuis le Rocher PercéLe golf du St-Laurent depuis la falaise à PercéLe Rocher PercéLa falaisieLe Rocher PercéMon site sur le camping CarletonLe Mont Saint-JosephUn phare à Carleton-sur-MerLa plage de Carleton-sur-Mer au coucher du soleilCoucher de soleil au camping de Carleton-sur-MerLa Baie-des-ChaleursCoucher de soleil pour la Subaru

Plus d’image de la Gaspésie ici

 



Le champ-de-glace Columbia est situéà 103 km de Jasper (au sud) et à 130 km du lac Louise (au nord) dans le parc National de Jasper. Le champ-de-glace Columbia est une masse de glace qui recouvre un haut plateau entre le mont Columbia (3 747 m) et le mont Athabasca (3 491 m). Le mont Columbia est le plus haut sommet de l’Alberta. La superficie de se dernier est d’environ 325 km2 et d’une profondeur de 365 m. C’est également la plus importante accumulation de glace dans les Rocheuses Canadiennes et la plus facile d’accès.

Le glacier Athabasca est le glacier le plus visité du continent nord-américain. Le glacier a une surface de 6 km2. Il mesure 6 km de long et son épaisseur varie de 90 à 300 mètres.Ce dernier est continuellement en mouvement puisqu’il franchit plusieurs centimètres par jour. Ce dernier a perdu la moitié de son volume au court des 125 dernières années dû au climat plus doux.

Il est possible de gravir le champ-de-glace de 2 façons. La première possibilité, c’est de stationner sa voiture au pied du glacier et ensuite de gravir la montagne de glace à pied. La seconde qui rend l’accès plus facile, c’est de le faire depuis un Explorateur de glacier Brewster. Pour se faire, on doit d’abord emprunter un autobus tout à fait normal au Centre champ-de-glace de l’autre côté de la route. Ce dernier nous amène alors au pied de la montagne, où ces gros autobus, les Explorateurs de glace Brewster, nous attendent. Le trajet se fait alors avec l’animation du chauffeur (en anglais dans mon cas). L’engin descend alors une pente très abrupte (environ 30 degré), avant de remonté sur le glacier. Une fois sur le glacier, il avance doucement sur le glacier, pour diminuer les effets sur ce dernier. Pour éviter au maximum que les fentes du glacier s’agrandissent. Pour les alpinistes expérimentés, il est possible de faire l’ascension jusqu’à sa crête, appelée Snow Dome (3 520 m). On dit qu’à partir de ce point l’eau coulent vers trois océans (Article, Pacifique et Atlantique).

Une fois rendu en haut, il est possible d’y recueillir de l’eau via ces petits ruisseaux créés par la fonte du glacier. Il est alors possible de boire une eau d’une grande pureté vieille de 150 ans. Il faut faire attention une fois sur le glacier de ne pas aller en dehors des barrières. Il a parfois des crevasses où certains sont mort d’hyperthermie après y être tombé.

Photos prisent le 27 juillet 2006:

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Le jour 11 fût la plus petite journée de route de ce voyage. Un maigre 140 km à fait. Mais, un magnifique 140 km. L’un des plus beaux avec la Promenade des Glaciers à Jasper. Le plus long de cette journée aura été d’attendre après le traversier, ne sachant pas trop à quelle heure ce dernier partait je suis arrivé à 9 heures et le Queen of Coquitlam ne partait qu’à 10 heures. J’avais l’horaire des traversiers, mais je n’ai pas trop compris comment elle fonctionnait. Cette fois-ci le navire avec une capacité de 1500 passagers et de 360 véhicules et bien sûr une cafétéria, arcade, boutique de souvenirs… comme tous les autres. La distance parcourue entre Departure Bay et Horseshoe Bay est de 30 miles nautique et on passe près que de 2 autres île, l’île Gabriola et l’île Bowen.

Contrairement à ma première traversée (Tsawwassen – Swartz Bay), la température dans le détroit de Georgia. Le vent y est froid, mais cela est peut-être dû au fait qu’il soit plus tôt que la première fois. C’est en voyant la côte que le décor change et devient grandiose. La vue des montagnes Rocheuses avec ses pics enneigées, de l’eau depuis le traversier est magnifique. Et nous fait oublier le froid!

Une fois rendu à terre, comme toujours la circulation y énorme au départ, vu que tout le monde descend. Mais, cela diminue rapidement, car contrairement à l’arrivée à Swartz Bay, il a plus d’une destination. On peut descendre et aller à West Vancouver ou se diriger vers le nord vers Whistler, ce que je ferais. C’est là que le plus beau commence. La route Sea to Sky (route 99) nous offre des décors de toute beauté. La route longe l’océan Pacifique et à notre droite, c’est les montagnes rocheuses. On voit au loin, la couleur bleu dans l’océan que laisse l’eau fondu par les glaciers. C’est vraiment impressionnant et vaut le détour! La vue y est excellente, mais la route elle est en construction sur plusieurs grande portion. Avec les jeux Olympiques de Vancouver en 2010, la route reliant Vancouver et Whistler a besoin d’être élargie et c’est ce qu’il faut en se moment, il ajoute une 2e voie. Les haltes présentes lors de mon passage, servaient alors aux gros camions pour la construction. Donc, impossible pour m’y moi de prendre des photos de ce paysage féerique.

Comme tout allait bien et j’allais pas arriver trop tard à Whistler, je pouvais me permettre d’arrêter voir les chutes de Shannon Falls, tout près de Squamish. … lire la suite.

Bien que l’île de Vancouver peut sembler petite, elle fait tout de même 460 km de longueur et sa largeur varie de 50 à 80 km. Et elle a quelques sommets de plus de 2000 m et qui sont enneigées. Comme la route y est relativement étroite par endroit, que la vitesse n’y est pas très élevé par moment, les déplacements y sont relativement assez long d’un endroit à un autre. Le temps passe plus vite que les kilomètres parcourus.

Mon objectif de cette journée était d’aller dormir à Tofino, de dormir sur le bord de l’océan Pacifique. Dans l’ensemble la route pour se rendre à Tofino, c’est bien fait à part quelques ennuis pour faire le plein d’essence. En parlant d’essence, il n’y a aucun poste d’essence entre Port Alberni et Tofino (le plus près serait à Ucluelet). C’est environ 85 km. Sinon, pour le reste du trajet fait sur l’île, il n’y a aucun problème de ce côté.

Rendu à Tofino, j’ai eu la mauvaise surprise d’apprendre que tous les terrains de camping étaient tous plein. Même les campings qui n’ont pas de douche dans le parc National du Pacific Rim étaient tous pleins. C’est 7-8 terrains de camping! Ce fût une grande déception pour moi, car c’est quelque chose que j’avais prévu de faire dès le début de ce voyage. J’aurais aimé y rester quelques nuits et profiter de la plage de l’île.

Je venais de faire près 6800 km … lire la suite.

Le parc national du Canada Pacific Rim est situé sur l’ÃŽle de Vancouver en Colombie-Britannique. Le parc compte une magnifique plage longue de 16 km qui donne sur l’océan Pacifique. Cette plage à pour nom: Long Beach. Il y est possible d’y faire du surf. À l’entrée du parc, il a un panneau indicateur qui donne la force des vagues. Les vagues étaient qualifiés de hautes lors de mon passage, mais elle ne me semblait pas si forte… peut-être à cause que la marée était basse. À l’entrée de la plage de Long Beach, il a un vieil article de journaux qui nous rappelle que la mer peut être dangereuse et mortelle. En plus de la plage, le parc est également composé d’une une centaine d’îles accessibles uniquement par bateau et un bande de terre. La superficie du parc est de 285,8 km2.

Les terrains de camping du parc n’offrent pratiquement pas de service, mais même malgré ça, durant les mois de juillet et d’août, il affiche complet. Donc, si vous ne voulez pas faire comme moi et l’apprendre une fois rendu sur place, réserver d’avance si vous projetez d’aller y dormir. Cela évitera la déception, de ne pas dormir dans un endroit si enchanteur.

Photos prisent le 24 juillet 2006:

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Tofino est une petite ville touristique située sur l’ÃŽle de Vancouver en Colombie-Britannique qui compte moins de 2000 habitants. Le ville est situé à la toute fin de la route 4, soit après le parc national du Canada Pacific RIM. La ville compte de belles plages où il est possible d’y faire du surf. On peut également y faire des excursions pour aller voir les baleines ou y faire de la plongée sous-marine.

J’espérais y passer la nuit, dormir sur le bord de l’océan Pacifique, mais malheureusement pour moi, tous les terrains de camping des environs affichaient complets. Donc, si vous comptez aller dormir là-bas, au mois de juillet et août, un conseil réservé d’avance, cela évitera la déception que j’ai eu.

Photos prisent le 24 juillet 2006

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La route entre Hope et Vancouver se fait très bien. C’est que 140 km qui sépare les 2 villes. Une fois rendu à Vancouver, je me dirige vers Grouse Mountain pour aller voir la ville dans haut. Avec l’aide de mon GPS et les indications clairs, je m’y rend sans problème. Après avoir payer pour le stationnement, je vais à l’admission pour enfin voir la magnifique ville de Vancouver. C’est pas donné (31,75 $ + taxe), mais depuis le temps que je veux voir Vancouver, cela en veut le détour. Une fois l’admission régler au faut patienter. Il n’y a que 2 téléphériques relie le bas de la montagne au haut de la montagne. Le départ se font à tous les demi-heure. Le téléphérique atteint une altitude de 1128 mètres. En marchant, j’ai atteint le sommet le plus rapproché à 1250 m d’altitude, dans l’espoir de mieux voir la ville. Malheureusement pour moi, malgré le beau ciel bleu, complètement dégagé, la vue de la ville était difficile. Il y avait toujours ce petit voile blanc qui recouvrait Vancouver. Comme c’est souvent le cas (et à ce qu’on me dit, même en hiver), il y avait du brouillard au dessus de la ville. Donc, bien que le vue était très bonne sur la ville, rien n’était clair sur la ville. Déçu certes, mais au moins j’aurais enfin vu Vancouver.

Après être descendu de la montagne, temps limité dû au parcomètre, je me dirige vers le Stanley Park, le parc des Vancouvérois comme il dise. Très beau parc situé sur une île situé entre Vancouver et West Vancouver. De là, la vue y est très magnifique et ce pour un maigre 2 $ de l’heure pour le stationnement. Seul hic, c’est que les places de stationnements sont très rare. Mais, la petite pause pour manger est apprécié.

Une fois la pause terminé, j’indique au GPS que je veux voir la Place du Canada, ensuite le General Motors Place (le domicile des Canucks – LNH) et que je veux me rendre au traversier. Le GPS me donne la route et tout va bien. Mais, il ne m’indique pas à chaque fois que je suis rendu à l’arrêt. Je passe donc tous les arrêts intermédiaires pour me rendre au traversier. Il m’a joué un vilain tour, mais bon ce n’est pas si grave. Le chemin qu’il me fait emprunter, gâche un peu la beauté de Vancouver. La route est rempli de câble électriques qui surcharge le « ciel ». C’est vraiment horrible. Mais, c’est câble sont utile, car ils servent pour un autobus électrique. Utile, mais horrible.

Rendu au traversier de Tsawwassen … lire la suite.

Vancouver est la 3e ville en importance au Canada avec près de 600 000 habitants, mais le grand « Vancouver » compte plus de 2 millions d’habitants. La ville compte également le 3e plus important quartier chinois en Amérique du Nord (après San Francisco et New York). Vancouver a le plus important port sur la côte du Pacifique au Canada. La ville sera l’hôte des jeux Olympiques de 2010 avec Whistler. La ville se trouve dans un décor enchanteur, avec la présence de l’océan Pacifique (détroit de Georgia), d’un fleuve important (Fraser) et de montagnes de plus de 1 500 mètres d’altitude. Cette localisation, offre également un climat plus doux et une végétation importante à ce secteur de la Colombie-Britannique.

Cette ville m’aura fait rêvé pendant plus d’une quinzaine d’année avant d’enfin la traversée. J’y aurais fait un pause dans le parc des vancouvérois, le parc Stanley. Ce dernier est situé sur une une parcelle de terre qui est presqu’une île. (Qui est également le 3e parc urbain en importance en Amérique du Nord)

Photos prisent le 23 juillet 2006:

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Banff est une ville d’un peu plus de 8 000 habitants situé dans le parc national de Banff en Alberta. Il situé à environ 120 km à l’ouest de Calgary,  58 km à l’est de Lake Louise et 281 km au sud de Jasper. L’altitude moyen de la ville est d’environ 1 400 mètres. C’est une ville qui doit son économie au tourisme. La ville de Banff a été nommé ainsi en souvenir de la région de Banffshire en Écosse, lieu de naissance de 2 administrateurs du Canadien Pacifique. Cette ville a longtemps été considérée comme la ville la plus à l’ouest du Canada, avant que que les pionniers ne réussissent à faire passer le train à travers les Rocheuses.

Photos prisent le 20 juillet 2006:

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La transcanadienne est une route qui relie les 10 provinces canadienne ensemble. La route va de l’océan Atlantique à l’océan Pacifique et parcourt 7 821 km. Cela fait d’elle la plus longue route nationale du monde. L’autoroute commence à l’est à St-John’s à Terre-Neuve et se termine à 2 endroits en Colombie-Britannique soit Victoria et Prince Rupert. C’est une autoroute et cela en n’est pas une. Car, elle emprunte des chemins qui sont plus ou moins important selon la fréquentation passant de 2 à 4 voies selon les endroits, sans compter le passage obliger par un traversier pour atteindre Terre-Neuve ou l’île de Vancouver.

La transcanadienne se trouve également sur plus d’une route selon les provinces et la numérotation n’est pas la même pour chaque province. En Colombie-Britannique, en Alberta, en Saskatchewan et au Manitoba elle porte les numéro 1 et 16. (La route 16 porte également le nom de Yellowhead et celle-ci passe plus au nord que la route 1.)

Dans les autres provinces canadiennes, la transcanadienne emprunte de nombreux numéros et ce parfois dans la même province. La principale en Ontario est la route 17. Au Québec, les principaux sont les autoroutes 20 et 40.

Pour revenir à la transcanadienne au Manitoba, celle-ci est très planche et c’est un autoroute à 4 voies avec une limite permise de 110 km/h. Ce qui fait étrange, c’est qu’il n’y aucune bretelle de sortie, aucun viaduc (à l’exception des environs de Winnipeg) sur cette autoroute. Il suffit de se tasser à gauche ou à droite lors d’un croisement d’une route pour « débarquer » de l’autoroute. Parfois, la « voie » pour se tasser se trouve sur la terre. Étrange, lorsqu’on a l’habitude de voie des viaducs. On voit également des poubelles sur le bord de l’autoroute et même des kiostes de fruits. Surprenez-vous pas de voir passer un tracteur devant vous!

Photo prise le 17 juillet 2006:

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