Pour la 3e journée de voyage, j’avais planifié d’aller voir les rochers d’Hopewell Rocks. Sans vraiment le savoir, j’en avais vu un aperçu au loin, puisse que du bout du terrain de camping, j’en voyais un petite partie. Mais, avant d’y aller je devais changer d’emplacement sur le terrain de camping. La première nuit, j’avais pu avoir l’électricité, mais pour la seconde je devais changer de terrain, car ce dernier était réservé. La première nuit, c’était faite près du bâtiment où l’on trouve les toilettes et les douches, la seconde allait se faire plus près de la baie de Fundy, mais loin de tout service. J’aurais pu m’installer près de celle-ci, mais j’ai choisi un emplacement entre les 2, car cela faisait loin pour avoir accès au service du terrain de camping.

Avant de changer de terrain, j’ai un peu « parlé » avec mon voisin de terrain. Parler, c’est un gros mot, car les temps morts étaient plus présent que les mots dits. Lui parlant anglais et moi ayant des connaissances très limités, les « phrases » étaient longue à sortir. Mais, c’était drôle de nous voir essayer de trouver les mots pour se comprendre. Ce que l’on réussissait à faire après un certain temps. Un beau moment, malgré tout. La Rex (c’est ainsi que les anglophones appelle la Subaru Impreza), c’était également fait remarqué…

Une fois le changement d’emplacement effectué, je suis parti voir les rochers d’Hopewell Rocks. Avant de partir pour se voyage, j’avais fait imprimer l’horaire des marées pour pouvoir bénéficier d’une marée basse le plus longtemps possible et avec le maximum de temps pour tout voir. Le coût d’accès au site était de 8 $ par adulte. L’accès permet d’avoir accès au site pendant 24 heures. Il est donc possible d’y retourner le lendemain où à différent moment de la journée pour voir la marée haute et basse. Sauf qu’après 20 heures, les barrières du stationnement ferme.

Une fois l’entrée payer, un petit sentier pédestre … lire la suite.




Après une première nuit pas des plus confortable, il était temps de reprendre la route pour aller voir cette fameuse baie de Fundy. Cette baie qui accueille les plus hautes marées du monde! Pour ma première nuit et bien je me suis aperçu que ces petits matelas de mousse qu’ils vendent cela ne vaut pas cher. C’est comme dormir sur le sol ou presque. Donc, un conseil vous voulez un matelas optez pour un gonflable. Plus long à installé, mais la nuit sera plus agréable et de plus cela vous éloigne du sol. Pour le camping, un petit reproche, mais c’était prévisible. Le camping étant situé près de l’autoroute 2, la nuit on entend un peu passé les voitures. Mais, bon c’est un gars qui à l’habitude de dormir dans le confort qui le dit.

Une fois, le déjeuner pris, la tente démonté et tout remis dans la voiture, c’était de nouveau l’heure de repartir vers ses terres inconnues. Après 175 km de plus sur l’autoroute 2, je l’ai délaissé pour la route 10, ensuite l’autoroute 1 juste le temps d’aller prendre la route 114 qui allait me faire traverser le parc national de Fundy et ainsi longé la plus célèbre baie canadienne.

Une première vue tout en haut d’une montagne … lire la suite.

Le camping Yogi Bear’s Jellystone Park est situé à Woodstock au Nouveau-Brunswick. C’est un beau et grand terrain de camping situé sur le bord de l’autoroute 2. Le camping offre de nombreuses activités extérieures, donc des glissades d’eau. C’est un bel endroit à y séjourner en famille. Le seul hic, c’est la proximité de l’autoroute qui peut déranger certains dormeurs au sommeil léger. Vous pouvez avoir plus d’information sur la page officiel du camping.

Photos prisent le 28 juillet 2005:

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C’est finalement, le 28 juillet 2005 que je suis parti la première fois en voyage en solo. La valise pleine de bagages et tout le nécessaire pour manger et dormir pour cette aventure. Prenant tout mon courage, je suis parti avec comme objectif de dormir à Dégelis au Québec. Pour une première « longue route », j’en aurais probablement assez de ses 400 kilomètres…

Après seulement une demi-heure de route, je me suis dit: « Wow, je le fais vraiment. Je pars vraiment seul! ». Pis, j’ai reviré de bord… Bien sûr que non, j’ai continué. Mais, je me surprenais moi-même d’être parti loin de « mon monde » pour un endroit que j’avais jamais visité et qui plus est dans une langue que je ne méprise pas, l’anglais. Être parti une première fois au Québec, j’aurais pu au moins avoir une référence et me débrouillé vu que la langue ne saurait pas un problème, mais là c’est loin d’être certain. Le Nouveau-Brunswick a beau être la seule province canadienne officiellement bilingue cela ne signifie pas que partout il a des gens bilingue. J’ai tout de même continuer ce défi personnel, en me disant que cela serait des souvenirs inoubliables et que j’allais voir des choses incroyables.

La route parcourue au Québec … lire la suite.