Mise à jour
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Cela faisait un moment que je n’avais pas ajouté de contenu et c’est ce que j’ai fait aujourd’hui. Aujourd’hui, j’ai fait le tri dans les photos prisent dans les Prairies, ainsi que dans les campings de l’Ontario et du Québec. Il ne reste plus que quelques photos prises en Alberta et le tri des photos du voyage dans l’Ouest canadien sera fini. Cette fois-ci, certaines pages sont volontairement publiées en double, car j’ai passé à ces terrains de camping en montant et en revenant du voyage. Je mets les pages en double pour respecter l’ordre chronologique.

Camping Glenview Cabins à Sault Ste-Marie en Ontario

Camping Happy Land Park à Thunder Bay en Ontario

Photo de la transcanadienne au Manitoba

Camping Miller’s Camping Resort à Portage La Prairie au Manitoba

Régina

En direction de Willow Bunch

Pétroglyphes à Saint-Victor

Photos des Prairies

Camping The Lone Eagle Motel à Herbert en Saskatchewan

Levée du soleil en Saskatchewan

Camping David Laird Campground à North Battleford en Saskatchewan

Camping Miller’s Camping Resort à Portage La Prairie au Manitoba

Camping Happy Land Park à Thunder Bay en Ontario

Camping Bon Vent à Duparquet au Québec




Étant de retour sur le chemin du début de mon voyage, je ne connaissais à présent la route et j’avais maintenant une idée d’où je voulais coucher. Je voulais retourner dormir à Thunder Bay et pour une 2e journée consécutif, le décalage horaire m’était encore une fois défavorable. J’aurais aimé pouvoir me rendre plus loin, pour facilité le jour 18, mais le décalage ne le permettait pas et la météo n’était pas de mon côté. Mais, celle-ci aura su attendre le temps que je monte ma tente avant de se déchaîné (pluie forte, éclair… ). Mais, pas suffisant pour faire un repas chaud. Dans les circonstances, les sandwichs n’auront pas été mauvaise.

Pour la route, l’autoroute 1 au Manitoba permet de faire rapidement du chemin avec sa limite de vitesse de 110 km/h. Et comme tout est droit et dégagé, tout se fait bien. C’est la route 17 en Ontario qui est longue, très longue à faire avec ces 90 km/h et ses environs très boisé. Mais, pas le choix, c’est le chemin à emprunter pour revenir chez soi par l’Ontario.

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La nuit ayant été assez difficile, je me réveilla tout de même assez de bonne heure, dans le but d’aller dormir à Portage La Prairie au Manitoba. Ayant été déçu par ma nuit, je savais que je passerai une bonne nuit là-bas, vu que j’avais aimé ce camping lors du début du voyage. Et je ne devais pas partir trop tard, car c’est 900 km qui m’attendait et une heure de décalage défavorable.

L’autoroute 16 est pas moment à 2 voies par moment à une seule voie. Mais, plusieurs secteurs de cette autoroute sont en construction dans le but dans faire une véritable autoroute. Comme, je suis dans les Prairies, la terre est relativement plate et avec le vent venant de l’ouest, l’économie d’essence sans trouve avantagé. Cette essence qui se trouve assez rare sur cette route et vaut mieux faire le plein lorsqu’on y pense. Car, je me suis fait joué un tour en arrivant à Saskatoon. Comme Saskatoon est la ville la plus populeuse de Saskatchewan, je me suis dit que j’allais faire le plein en sortant de la ville. Mais, à ma grande surprise, il avait aucun poste d’essence en sortant de la ville. Il en avait que dans la ville. Je me suis dit, il va sûrement en avoir au prochain village, non plus… au suivant, non plus. J’ai fait un bon bout de chemin ainsi avant de m’aventurer en dehors de la transcanadienne pour atteindre un village et faire le plein d’essence ordinaire vu que le super, ils en ont pas. Contrairement à l’autoroute 1, où l’autoroute passe tout près des villages, l’autoroute 16 passe loin des villages et l’essence s’y trouve pour ainsi dire assez rare merci. Mais, les pancartes indiquent la présence ou non du précieux liquide.

À part la rareté du pétrole, de quelques ennuis sur la voiture tout se passe bien. Mais, ces petits ennuis mécaniques commencent à semer un doute sur la voiture et me rappelent encore plus que je suis loin de chez moi. Mais, heureusement pour moi, le reste du voyage se fera sans ennuis.

C’est avec plaisir que je retrouvera Miller’s Camping Resort pour cette nuit. Pour mon 2e passage encore une fois j’aurais des québécois comme voisin. C’est pratiquement l’unique endroit où j’aurais pu parler en français durant ce voyage. Cette nouvelle petite famille m’aura permit de parler et oui parler, parler. Cela m’a manqué un peu et cela faisait du bien de discuter. Moi, je revenais et eux partait pour l’ouest. J’aurais passé une très bien veillé et j’espère pour eux qu’ils auront eu une très beau voyage. Des gens vraiment sympathiques. La différence entre mon premier passage et cette fois-ci, c’est que cette fois-ci j’ai pris l’électricité. J’ai eu assez froid durant mes nuits dans l’ouest que là je voulais dormir au chaud.

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Le terrain de camping Miller’s Camping Resort à Portage La Prairie au Manitoba est un de mes coups de coeur de se voyage. Tout comme le camping Happy Land Park près de Thunder Bay en Ontario, j’y ai fait 2 séjours d’une nuit. L’accueil y est excellente et rien à dire contre la propreté. Seul hic, c’est que les douches y sont payantes (1 $ / 5 min.). Le camping est assez grand et il est situé près de la transcanadienne. Bien que l’autoroute ne soit pas tellement loin, on ne peut pas dire qu’on attend le passage des véhicules. En 2006, il en coûtait 18,02 $ (taxe incluse) pour une nuit pour une tente sans électricité et 21,20$ (taxe incluse) avec électricité.

Je vous le recommande sans aucune hésitation.

Photos prisent le 31 juillet 2006:

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L’autoroute est en voie double sur pratiquement toute sa longueur au Manitoba. Mais, ce n’est pas toujours le cas en Saskachewan. Par contre, de nombreuses sections d’autoroute sont en construction pour en faire une véritable autoroute. Lorsque la voie est double la limite de vitesse y est de 110 km/h, tandis qu’en voie simple la limite de vitesse descend à 100 km/h. La route passe également par quelques villages. La vue est typique des Prairies. Tout est vallonné et pour voir les « véritables prairies« , il faut quitter la transcanadienne. C’est là qu’on voit que des champs, il en a à perte de vue en Saskachewan. C’est véritablement joli et parfois presque surréaliste. Avec le vent, les champs semble se transformer en mer, vu l’effet de « vagues ». Bizarre comme effet, mais joli.

Mais, quitter la transcanadienne, c’est quitter la route principale. C’est se retrouver isolé. Car, les villages sont très éloigné les un des autres et par le fait même les postes à essences sont pratiquement absent. Et compter pas trouver de l’essence super (91 octane) dans ces petits villages. Parfois, pour réduire la distance entre les routes perpendiculaires, il sera préférable d’emprunter ces chemins de graviers, sans jamais quitter les yeux sur l’aiguille du réservoir d’essence.

C’est beau certes, mais j’ai été déçu de mon détour à St-Victor, car il a absolument rien à voir. Le paysage est différent, mais pour le temps perdu, cela ne compensait pas le trajet effectué. Par contre, la région des Badlands (mauvaises terres) qui commence dans les environs de Willow Bunch semblent fort intéressante. Mais, mon temps limité et surtout la crainte de manqué d’essence m’a poussé à quitté le plus rapidement possible cette région pour retrouvé la transcanadienne. Les prairies c’est beau… mais cela fini par être long. … lire la suite.

Les Prairies, Photos
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Les Prairies couvrent un vaste territoire qui touche les provinces de l’Alberta, de la Saskatchewan et du Manitoba. C’est principalement, c’est 2 dernières qui sont le plus touchés. Ce sont de belles terres relativement plates qu’on y retrouve. J’ai remarqué que les terres semblent plus plate au Manitoba que dans les autres provinces. En Saskatchewan, les terres sont plus vallonnées, mais sur de longue distance. Il faut réellement quitter l’autoroute pour se rendre compte de la gigantesque des terres agricoles. La province du Manitoba est plus boisé (surtout des conifères). En Saskatchewan, la culture du blé est reine.

Photos prisent le 18 juillet 2006:

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La route de Thunder Bay à Kenora est très longue et ennuyante. Comme le reste du parcourt en Ontario la limite de vitesse de 90 km/h, ce qui n’aide pas. Le secteur est très boisé. Par contre tout ceci change rapidement une fois rendu au Manitoba. La route devient alors une autoroute, où la limite de vitesse y est de 110 km/h. Le terrain est très plat et il a peu d’arbre. C’est les prairies! Comme, le vent vient souvent de l’ouest, la consommation d’essence s’en resent un peu, malgré la route sans relief. L’autoroute au Manitoba n’a rien à voir avec ce que l’on a au Québec. Oubliez la bretelle de sortie ou les viaducs sur celle-ci. Ils n’existent pas sauf près de Winnipeg. Il a même des kiostes de fruits sur le bord de l’autoroute!

Trajet du jour 3

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Le terrain de camping Miller’s Camping Resort à Portage La Prairie au Manitoba est un de mes coups de coeur de se voyage. Tout comme le camping Happy Land Park près de Thunder Bay en Ontario, j’y ai fait 2 séjours d’une nuit. L’accueil y est excellente et rien à dire contre la propreté. Seul hic, c’est que les douches y sont payantes (1 $ / 5 min.). Le camping est assez grand et il est situé près de la transcanadienne. Bien que l’autoroute ne soit pas tellement loin, on ne peut pas dire qu’on attend le passage des véhicules. En 2006, il en coûtait 18,02 $ (taxe incluse) pour une nuit pour une tente sans électricité et 21,20$ (taxe incluse) avec électricité.

Je vous le recommande sans aucune hésitation.

Photos prisent le 17 juillet 2006:

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La transcanadienne est une route qui relie les 10 provinces canadienne ensemble. La route va de l’océan Atlantique à l’océan Pacifique et parcourt 7 821 km. Cela fait d’elle la plus longue route nationale du monde. L’autoroute commence à l’est à St-John’s à Terre-Neuve et se termine à 2 endroits en Colombie-Britannique soit Victoria et Prince Rupert. C’est une autoroute et cela en n’est pas une. Car, elle emprunte des chemins qui sont plus ou moins important selon la fréquentation passant de 2 à 4 voies selon les endroits, sans compter le passage obliger par un traversier pour atteindre Terre-Neuve ou l’île de Vancouver.

La transcanadienne se trouve également sur plus d’une route selon les provinces et la numérotation n’est pas la même pour chaque province. En Colombie-Britannique, en Alberta, en Saskatchewan et au Manitoba elle porte les numéro 1 et 16. (La route 16 porte également le nom de Yellowhead et celle-ci passe plus au nord que la route 1.)

Dans les autres provinces canadiennes, la transcanadienne emprunte de nombreux numéros et ce parfois dans la même province. La principale en Ontario est la route 17. Au Québec, les principaux sont les autoroutes 20 et 40.

Pour revenir à la transcanadienne au Manitoba, celle-ci est très planche et c’est un autoroute à 4 voies avec une limite permise de 110 km/h. Ce qui fait étrange, c’est qu’il n’y aucune bretelle de sortie, aucun viaduc (à l’exception des environs de Winnipeg) sur cette autoroute. Il suffit de se tasser à gauche ou à droite lors d’un croisement d’une route pour « débarquer » de l’autoroute. Parfois, la « voie » pour se tasser se trouve sur la terre. Étrange, lorsqu’on a l’habitude de voie des viaducs. On voit également des poubelles sur le bord de l’autoroute et même des kiostes de fruits. Surprenez-vous pas de voir passer un tracteur devant vous!

Photo prise le 17 juillet 2006:

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…et son histoire du rêve à la réalité!

L’ouest canadien… ah quelle belle partie du monde qui m’aura fait tant rêver. Depuis, la première fois que j’en aurais entendu parler, que j’en aurais vu des photos dans mes premiers cours de géographie à l’école. Comment ne peut être frappé par ces décors majestueux, ces plaines à perte de vues, ses montagnes au sommet enneigé, sa vu sur l’océan Pacifique… cela aura été le coup de foudre dès le départ.

Mais, j’en aurais mi du temps avant de réaliser mon rêve d’atteindre Vancouver. Depuis, l’adolescence que je dis à tout le monde qu’à 25 ans, j’irai voir Vancouver. Il aura fallu plus d’une dizaine d’années pour pouvoir respirer l’air de Vancouver. Et au final, il m’aura fallu un an de plus pour le réaliser ce bon vieux rêve.

Un an de plus pour le réaliser, mais on peut dire que cela aura été un an pour le préparer ce voyage de plus de 10 000 km. La préparation en tant que telle aura commencé en juillet 2005, lorsque sur un coup de tête, j’ai été m’acheter une tente pour aller voir le pont de la Confédération qui relie le Nouveau-Brunswick et l’ÃŽle-du-Prince-Édouard. Un périple qui m’aura permis de voir la distance que je peux faire en voiture. Puisqu’avant d’effectuer ce voyage le plus loin que j’avais été avec ma voiture c’est à Montréal et ce n’est même pas 200 km. Là durant ce séjour, j’aurais fait 2600 km en 4 jours, donc une journée de 1300 km. Donc, je savais que je pourrais faire le trajet jusqu’à Vancouver, sans que cela soit trop pénible.

Par le fait même ce voyage de 2005, m’aura permis de voir si j’allais aimer ça dormir dans une tente. Même si j’ai fait du camping avec mes parents depuis mon plus jeune âge, je n’avais jamais dormi avant dans une tente. Étant habitué dès mon jeune âge avec une tente-roulotte et dès 1990, mes parents ont eu une roulotte. Donc, dès là c’était du camping de luxe, avec matelas confortables, chauffages et télévision! Une simple tente allait-elle me convenir? J’aurais au moins découvert que ces petits matelas de mousse sont loin d’être confortables. Mais, à part ça, j’ai aimé ce beau petit voyage… mais là ce sera pour une autre « histoire ». Ce matelas de mousse aura été remplacé par un bon matelas pneumatique pour ce voyage, merci à ma soeur pour le cadeau en passant!

Sachant que la route ne posait pas de problème, de même que pour le camping, il me restait à voir si j’allais avoir le temps nécessaire pour le faire. Et c’est en mars 2006, que j’ai su que j’aurais finalement droit à mes trois semaines de vacances consécutives. Dès, la recherche de documentations à commencer sur le net. J’ai alors fait venir les guides touristiques en français et en anglais des 5 provinces que j’allais rencontrer dans mon voyage. L’Alberta aura été la plus rapide et par chance! Probablement la plus belle avec la Colombie-Britannique qui a également été rapide. L’Ontario par contre, c’est fait attendre tout comme la Saskatchewan, mais bon j’ai fini par recevoir ce que je voulais.

Une fois la documentation trouvée, il me restait à m’y préparer. En 2005, le voyage avait … lire la suite.