Une vue de la côte depuis Green Cove

Lors de ma 5e journée (16 juillet) de ce voyage en Nouvelle-Écosse, je me suis levé vers 7 heures, et oui je suis plus matinal en camping que chez moi, et après avoir déjeuné, je suis parti à 8 h 30 avec un petit détour au dépanneur pour acheter de la glace. Avec une chaleur qui se maintient au-dessus des 30°C  le jour, la glace fond très vite. Après l’arrêt au dépanneur, je me suis dirigé vers Neils Harbour en prenant soin de m’arrêter à toutes les haltes. En passant, vous retrouver à Neils Harbour le seul poste d’essence entre Chéticamp et Ingonish, donc veut mieux prévenir avant de s’aventurer dans le parc.

Un petit chemin de bois à Green Cove

Les haltes en bord de mer offrent rapidement une vue sur la côte. Que ce soit Green Cove ou Cape Ladies, cela veut la peine d’y prendre un petit 5 minutes pour y jeter un oeil. Les trottoirs de bois n’y sont jamais très longs et ils offrent un paysage fort différent de celui sur la côte ouest du parc (Chéticamp). Pour aller à Neils Harbour, il faut quitter la Cabot Trail pour la route New Haven. Le village est très petit et on y voit un beau petit phare … lire la suite.

 



Pour la 4e journée (15 juillet 2008) de mon voyage en Nouvelle-Écosse, j’ai quitté le secteur ouest (Chéticamp) du parc national des Hautes-Terres-du-Cap-Breton vers le secteur qui donne sur l’océan Atlantique (Ingonish), mais en cours de route j’ai quitté la Cabot Trail pour la route Bay Saint Lawrence et finalement la route Meat Cove.

Meat Cove

Pour revenir au début de ma journée, je dois dire que c’est le début de la Cabot Trail qui est la plus belle et la plus intéressante à conduire, le secteur Est n’ayant pas le même charme. La Cabot Trail est intéressante de Chéticamp jusqu’au sentier Lone Shieling ce qui donne environ 30 km. Et par la suite dans les environs de Big Intervale sur une distance d’environ 15 km, le reste de cette célèbre route est à mon avis très ordinaire. Du moins, il a plus impressionnant ailleurs au pays. … lire la suite.

 

Après avoir été marcher en bordure du bassin Minas dans le parc provincial de Five Islands, j’ai repris la route à 8 h 07 en direction du Cap-Breton et pour être plus précis pour le terrain de camping de Chéticamp. Ne sachant pas trop à quelles heures j’allais y arriver, j’avais réservé 2 nuits à ce dernier avant d’entreprendre ce voyage pour être certain d’avoir de la place… et cela n’aurait vraiment pas été nécessaire. Mais bon, revenons au début de cette route qui mène au Cap-Breton. Dès mon départ, du parc provincial de Five Islands, je suis tombé sur une route en construction et j’ai dû y faire un autre 5 km de route sur gravier. Le mal étant fait la veille, ce n’est pas ces 5 km additionnels qui allaient rendre la voiture plus sale qu’elle l’était.

J’arrive ensuite assez rapidement sur la transcanadienne (autoroute 104) dans les environs de Great Village. Que dire de cette autoroute? C’est une belle autoroute où la vitesse permise est de 110 km/h et que, tout comme pour l’autoroute 1 au Nouveau-Brunswick, les haltes routières sont inexistantes. Le passage par Five Islands m’aura évité la section payante de l’autoroute comprise entre Oxford et Great Village (4 $ pour une auto). Pour l’autoroute, elle se fait assez bien, mais pour les véhicules en manque de puissance, sachez qu’il y a de bonnes côtes à monter avant d’arriver au Cap-Breton dans les environs de Barneys River Station, et ce, sur plusieurs kilomètres.

L’autoroute 104 se conclut au Canso Causeway … lire la suite.

Mon voyage vers la Nouvelle-Écosse a commencé réellement le 12 juillet dernier lorsque je me suis levé à 4 h 40 du matin pour faire les derniers préparatifs pour ce voyage de 2-3 mille kilomètres. La veille, j’avais pris soin d’embarquer tout le nécessaire et de prendre soin de ma voiture pour que tout soit parfait pour le départ. Ce samedi matin là, il ne me restait que quelques trucs à embarquer et la glacière. Une fois le déjeuner pris, j’étais prêt à partir vers une nouvelle aventure. Une aventure que j’avais prévu faire l’an dernier, mais à cause des caprices de dame nature, celle-ci avait été remise. La Nouvelle-Écosse allait être la 9e province que j’allais voir, et ce, comme pour les 7 autres visitées précédemment au cours des 3 dernières années, le voyage allait se faire de nouveau en solo.

Pour ce voyage, je disposais d’une semaine, car je désirais aller rejoindre ma famille à Old Orchard Beach, dans l’état du Maine aux États-Unis. Comme pratiquement tous les ans depuis mon plus jeune âge, moi et ma famille avons l’habitude d’y prendre nos vacances et comme cela allait être la première fois pour mon filleul qui allait bientôt avoir 11 mois, il m’était hors de question de rater ça. J’aurais aimé disposé de plus de temps pour ce voyage en Nouvelle-Écosse, mais mes vacances étaient ainsi, une semaine là-bas serait mieux que rien et de plus je ne pouvais pas réellement dire que ce voyage m’attirait énormément avant de partir. Certes, j’étais curieux de faire la Cabot Trail et puis? Une semaine serait probablement amplement suffisante pour tout voir. C’est dans cet esprit que je suis parti à 6 heures moins dix en direction de Moncton. Car mon objectif de cette première journée était d’aller dormir à Moncton. Et la route jusqu’à celle-ci je la connaissais bien, l’ayant fait en 2005. À l’époque par contre, j’avais dormi à Woodstock, soit 250 km plus près de chez moi.

Mon premier arrêt de la journée (8 h 15) est pratiquement devenu une tradition … lire la suite.

Le restant des photos prises en Colombie-Britannique et en Alberta ont été ajoutées aujourd’hui.

Mont Robson
Une zone aride en Colombie-Britannique
Whistler
Camping Riverside à Whistler
Chutes de Shannon Falls à Squamish

Photos de traversiers
Camping Brannen Lake Campsite à Nanaimo
Parc national du Canada Pacific Rim et de la plage Long Beach
Tofino
Camping Victoria West KOA à Malahat
Camping Wild Rose à Hope

Camping Mont-Tunnel Village I
Camping Mont-Protection

Pour revenir au lieu de prendre la route qui longe le lac Supérieur et qui est terrible long, j’ai choisi de revenir plus au nord et d’entré au Québec par l’Abitibi-Témiscamingue. Et mon objectif était également de passer la dernière nuit de mon voyage au Québec. Pour ce faire au lieu de revenir par la route 17 (transcanadienne), je suis revenu par la route 11 (transcanadienne). Et ce fut un très bon choix.

La route 11 est relativement plat et elle est pratiquement toujours en ligne droite, bref tout le contraire de la route 17. Le seule point en commun, la limite de vitesse de 90 km/h. Un point qui manque à mon goût sur cette route, c’est les haltes routières. Ils se font assez rare ou du moins jamais lorsqu’on en voudrait un.

J’ai fait le plein à Hearst. Je savais qu’il avait des francophones là-bas, mais j’ai été énormément étonné d’être répondu en français au poste à essence. Et je dois dire que j’ai apprécié. C’était tout de même le 1er plein d’essence en français de ce voyage, le 26e plein! Le gars sympa à l’accueil m’a dit que dans la région c’était 50 / 50 pour le français et l’anglais. En continuant ma route, je passe alors à Timmins. C’est la ville de Shania Twain et ils en sont fier. Je vous la laisse découvrir par vous même.

Une fois Timmins passé, le Québec n’est plus très loin. Avant de partir pour ce voyage, j’avais regardé les terrains de camping dans le guide Camping Québec et le premier se trouvant sur la route 388 se trouvait dans le premier village en entrant au Québec à Duparquet. J’ai eu un peu de mal à trouver avec des indications plus ou moins précise, mais je pu enfin prendre un terrain en français, l’unique fois de ce voyage. Pour ce rendre au camping, c’est finalement assez simple. Rendu à la jonction de la 393, allez en direction de Duparquet. Une fois rendu au « centre » du village, continué tout droit et continuer ainsi sur la route en gravier et gardé toujours la droite de celle-ci. Le camping sera à votre droite. C’est pas le plus beau camping de ce voyage, mais cela faisait du bien d’être de retour chez soit, malgré que je suis à 900 km de mon chez moi.

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La nuit ayant été assez difficile, je me réveilla tout de même assez de bonne heure, dans le but d’aller dormir à Portage La Prairie au Manitoba. Ayant été déçu par ma nuit, je savais que je passerai une bonne nuit là-bas, vu que j’avais aimé ce camping lors du début du voyage. Et je ne devais pas partir trop tard, car c’est 900 km qui m’attendait et une heure de décalage défavorable.

L’autoroute 16 est pas moment à 2 voies par moment à une seule voie. Mais, plusieurs secteurs de cette autoroute sont en construction dans le but dans faire une véritable autoroute. Comme, je suis dans les Prairies, la terre est relativement plate et avec le vent venant de l’ouest, l’économie d’essence sans trouve avantagé. Cette essence qui se trouve assez rare sur cette route et vaut mieux faire le plein lorsqu’on y pense. Car, je me suis fait joué un tour en arrivant à Saskatoon. Comme Saskatoon est la ville la plus populeuse de Saskatchewan, je me suis dit que j’allais faire le plein en sortant de la ville. Mais, à ma grande surprise, il avait aucun poste d’essence en sortant de la ville. Il en avait que dans la ville. Je me suis dit, il va sûrement en avoir au prochain village, non plus… au suivant, non plus. J’ai fait un bon bout de chemin ainsi avant de m’aventurer en dehors de la transcanadienne pour atteindre un village et faire le plein d’essence ordinaire vu que le super, ils en ont pas. Contrairement à l’autoroute 1, où l’autoroute passe tout près des villages, l’autoroute 16 passe loin des villages et l’essence s’y trouve pour ainsi dire assez rare merci. Mais, les pancartes indiquent la présence ou non du précieux liquide.

À part la rareté du pétrole, de quelques ennuis sur la voiture tout se passe bien. Mais, ces petits ennuis mécaniques commencent à semer un doute sur la voiture et me rappelent encore plus que je suis loin de chez moi. Mais, heureusement pour moi, le reste du voyage se fera sans ennuis.

C’est avec plaisir que je retrouvera Miller’s Camping Resort pour cette nuit. Pour mon 2e passage encore une fois j’aurais des québécois comme voisin. C’est pratiquement l’unique endroit où j’aurais pu parler en français durant ce voyage. Cette nouvelle petite famille m’aura permit de parler et oui parler, parler. Cela m’a manqué un peu et cela faisait du bien de discuter. Moi, je revenais et eux partait pour l’ouest. J’aurais passé une très bien veillé et j’espère pour eux qu’ils auront eu une très beau voyage. Des gens vraiment sympathiques. La différence entre mon premier passage et cette fois-ci, c’est que cette fois-ci j’ai pris l’électricité. J’ai eu assez froid durant mes nuits dans l’ouest que là je voulais dormir au chaud.

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Le mont Pyramid se trouve dans le Parc National de Jasper en Alberta. La montagne est situé à 10 minutes au nord-est du village de Jasper. Le sommet du mont Pyramid atteint une altitude de 2766 mètres. Ce n’est pas par sa hauteur que cette montagne se démarque, mais par sa silhouette qui rappelle celle d’une pyramide. Un bel endroit pour voir cette montagne c’est depuis le lac Annette.

Quelques photos prisent le 28 juillet 2006:

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Le lac Annette se trouve dans le Parc National de Jasper en Alberta. Le lac est situé à l’est du village de Jasper. Ce lac a une plage sablonneuse où il est possible de s’y baigner. L’eau atteint environ 20 degré en été. Comme les autres lacs de la région, l’eau y est turquoise. Ce lac est alimenté par des sources et il a été formé à la fin de l’époque glaciaire. C’est un petit lac entouré d’un sentier pavé où l’on met moins d’une demi-heure pour faire le tour. Depuis le sentier du lac Annette, on a une belle vue sur le mont Pyramid.

Quelques photos prisent le 28 juillet 2006:

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Bien que la distance de cette journée soit moyenne avec moins de 800 km, en temps, c’est une longue journée. La route de Whislter (route 99 nord) jusqu’à la route 97 est très très sillonneuse. Et la vitesse y est réduite. La vitesse moyenne doit être dans les 60 km/h avec des virages sous les 30 km/h. On y traverse de nombreux ponts qui ne permettent pas de rencontrer d’autres voitures. Et on longe à quelques reprises des falaises qui n’ont parfois aucun garde-fou à ma grande surprise, je l’avoue. Même si le terrain à notre droite se trouve 30 mètres plus bas!

Une fois sur la route 97, je me suis dirigé vers 100 Mile House pour prendre la route 24 qui se trouve un peu avant ce village. J’ai opté par ce chemin pour aller à Jasper. Car, le temps passait très vite et qu’il me restait beaucoup de kilométrage à faire et ne voulant pas arriver trop tard à Jasper, cela me semblait être la meilleure solution. Je craignais d’arriver trop tard à Jasper et de ne pas avoir d’emplacement sur le camping. Avoir eu plus de temps, j’aurais opté pour la route 97 sud pour passer à Kamloops. À ce qu’on m’a dit, à mon retour au Québec, que c’est très beau se coin et le paysage est assez désertique.

Pour revenir au chemin emprunter, la route dans son ensemble se fait assez bien. Bien que la route 24 semble moins importante sur la carte, elle se fait assez bien et la vitesse y est raisonnable (70-80 km/h). J’ai pu faire le plein d’essence une fois rendu à Little Fort sur la route 5 nord. La route 5 ne pose également pas de problème. Le défaut que j’y rapproche est la difficulté à y dépasser les véhicules lourds qui y sont présents, vu la rareté des zones à doubles voies et même dans les côtes. Et souvent, il a plusieurs véhicules lourds chargés de bois qui se suivent.

Côté paysage sur ces routes, on y voit … lire la suite.