Québec-Ontario
3 898 lectures & Aucun commentaire

C’était la première fois que j’allais en Abitibi-Témiscamingue et je dois dire que c’est assez beau. Il a de nombreux et beaux lacs sur la route de retour. J’ai toujours entendu dire que c’est loin l’Abitibi, mais j’ai trouvé cela si près de Victoriaville. Lorsque tu es allé à Vancouver, l’Abitibi peut sembler à côté.

J’ai fait 925 km pour revenir, mais sur ce j’ai fait 2 détours, donc un non voulu. J’ai fait un détour à St-Basile-le-Grand pour aller voir la maison à ma soeur et l’autre parce que le GPS me faisait passer par un autre chemin que celui recherché. Le GPS me proposait de revenir par l’Ontario (route 101 et la route 17) et à voir la distance qu’il me donnait cela semblait plus long en kilomètre. Après m’en être rendu compte, je suis revenu sur mon chemin pour passer par Val-d’Or et descendre par le parc La Vérendrye. Je me suis, donc rallongé de 30 à 50 km. Mon but était de revenir par les Laurentides, une région que je n’ai pas vue depuis que je suis en âge de comprendre. Je voulais voir les montagnes des Laurentides, mais malheureusement pour moi, cela sera pour une autre fois. La météo encore une fois n’a pas voulu coopérer et les pluies parfois fortes m’empêchait de bien voir le relief. J’ai pu voir les montagnes que rendues au mont Saint-Sauveur. Et je dois dire que lorsqu’on vient de voir les Rocheuses, nos montagnes semblent ridicules. Mais, elles ont toujours leur charme.

Malgré la météo, j’ai trouvé que le chemin se faisait très bien et que dans son ensemble, la route était belle. Vers 16 heures, j’étais déjà arrivé à Laval. Mais, là la route fût très longue. Il eut un accident et cela m’a pris 30-40 minutes pour faire un maigre kilomètre. Rendu sur le boulevard métropolitain (autoroute 40), les panneaux indiquaient cogestions et le tunnel Louis-Hippolyte-Lafontaine, je l’ai traversé à 30 km/h! Je préfère de loin faire 1000 km en une journée que passer une heure dans le trafic de Montréal. Une horreur! Pas moyen de se dégourdir les jambes vu que cela avance tranquillement.

Le reste de la route se fut sans aucun problème et j’étais à nouveau de retour chez moi. Et je pouvais à présent retrouver le confort de mon lit et dormir au chaud… mais les vacances, elles étaient déjà terminées.

… lire la suite.




Pour revenir au lieu de prendre la route qui longe le lac Supérieur et qui est terrible long, j’ai choisi de revenir plus au nord et d’entré au Québec par l’Abitibi-Témiscamingue. Et mon objectif était également de passer la dernière nuit de mon voyage au Québec. Pour ce faire au lieu de revenir par la route 17 (transcanadienne), je suis revenu par la route 11 (transcanadienne). Et ce fut un très bon choix.

La route 11 est relativement plat et elle est pratiquement toujours en ligne droite, bref tout le contraire de la route 17. Le seule point en commun, la limite de vitesse de 90 km/h. Un point qui manque à mon goût sur cette route, c’est les haltes routières. Ils se font assez rare ou du moins jamais lorsqu’on en voudrait un.

J’ai fait le plein à Hearst. Je savais qu’il avait des francophones là-bas, mais j’ai été énormément étonné d’être répondu en français au poste à essence. Et je dois dire que j’ai apprécié. C’était tout de même le 1er plein d’essence en français de ce voyage, le 26e plein! Le gars sympa à l’accueil m’a dit que dans la région c’était 50 / 50 pour le français et l’anglais. En continuant ma route, je passe alors à Timmins. C’est la ville de Shania Twain et ils en sont fier. Je vous la laisse découvrir par vous même.

Une fois Timmins passé, le Québec n’est plus très loin. Avant de partir pour ce voyage, j’avais regardé les terrains de camping dans le guide Camping Québec et le premier se trouvant sur la route 388 se trouvait dans le premier village en entrant au Québec à Duparquet. J’ai eu un peu de mal à trouver avec des indications plus ou moins précise, mais je pu enfin prendre un terrain en français, l’unique fois de ce voyage. Pour ce rendre au camping, c’est finalement assez simple. Rendu à la jonction de la 393, allez en direction de Duparquet. Une fois rendu au « centre » du village, continué tout droit et continuer ainsi sur la route en gravier et gardé toujours la droite de celle-ci. Le camping sera à votre droite. C’est pas le plus beau camping de ce voyage, mais cela faisait du bien d’être de retour chez soit, malgré que je suis à 900 km de mon chez moi.

… lire la suite.

Le camping Bon Vent est situé à Duparquet au Québec. Duparquet est la première municipalité au Québec, lorsqu’on arrive par la route 101 en Ontario. La route 101 devient la route 388 rendu au Québec. Le camping et de taille moyenne et c’est assez propre. Les douches y sont gratuites. Ce camping d’Abitibi-Témiscamingue coûtait 15 $ en 2006 pour un terrain pour une tente avec électricité. Difficile à battre côté prix et service!

Photos prisent le 1 août 2006:

… lire la suite.