Après avoir été marcher en bordure du bassin Minas dans le parc provincial de Five Islands, j’ai repris la route à 8 h 07 en direction du Cap-Breton et pour être plus précis pour le terrain de camping de Chéticamp. Ne sachant pas trop à quelles heures j’allais y arriver, j’avais réservé 2 nuits à ce dernier avant d’entreprendre ce voyage pour être certain d’avoir de la place… et cela n’aurait vraiment pas été nécessaire. Mais bon, revenons au début de cette route qui mène au Cap-Breton. Dès mon départ, du parc provincial de Five Islands, je suis tombé sur une route en construction et j’ai dû y faire un autre 5 km de route sur gravier. Le mal étant fait la veille, ce n’est pas ces 5 km additionnels qui allaient rendre la voiture plus sale qu’elle l’était.

J’arrive ensuite assez rapidement sur la transcanadienne (autoroute 104) dans les environs de Great Village. Que dire de cette autoroute? C’est une belle autoroute où la vitesse permise est de 110 km/h et que, tout comme pour l’autoroute 1 au Nouveau-Brunswick, les haltes routières sont inexistantes. Le passage par Five Islands m’aura évité la section payante de l’autoroute comprise entre Oxford et Great Village (4 $ pour une auto). Pour l’autoroute, elle se fait assez bien, mais pour les véhicules en manque de puissance, sachez qu’il y a de bonnes côtes à monter avant d’arriver au Cap-Breton dans les environs de Barneys River Station, et ce, sur plusieurs kilomètres.

L’autoroute 104 se conclut au Canso Causeway … lire la suite.




Mise à jour
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Cela faisait un moment que je n’avais pas ajouté de contenu et c’est ce que j’ai fait aujourd’hui. Aujourd’hui, j’ai fait le tri dans les photos prisent dans les Prairies, ainsi que dans les campings de l’Ontario et du Québec. Il ne reste plus que quelques photos prises en Alberta et le tri des photos du voyage dans l’Ouest canadien sera fini. Cette fois-ci, certaines pages sont volontairement publiées en double, car j’ai passé à ces terrains de camping en montant et en revenant du voyage. Je mets les pages en double pour respecter l’ordre chronologique.

Camping Glenview Cabins à Sault Ste-Marie en Ontario

Camping Happy Land Park à Thunder Bay en Ontario

Photo de la transcanadienne au Manitoba

Camping Miller’s Camping Resort à Portage La Prairie au Manitoba

Régina

En direction de Willow Bunch

Pétroglyphes à Saint-Victor

Photos des Prairies

Camping The Lone Eagle Motel à Herbert en Saskatchewan

Levée du soleil en Saskatchewan

Camping David Laird Campground à North Battleford en Saskatchewan

Camping Miller’s Camping Resort à Portage La Prairie au Manitoba

Camping Happy Land Park à Thunder Bay en Ontario

Camping Bon Vent à Duparquet au Québec

Québec-Ontario
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C’était la première fois que j’allais en Abitibi-Témiscamingue et je dois dire que c’est assez beau. Il a de nombreux et beaux lacs sur la route de retour. J’ai toujours entendu dire que c’est loin l’Abitibi, mais j’ai trouvé cela si près de Victoriaville. Lorsque tu es allé à Vancouver, l’Abitibi peut sembler à côté.

J’ai fait 925 km pour revenir, mais sur ce j’ai fait 2 détours, donc un non voulu. J’ai fait un détour à St-Basile-le-Grand pour aller voir la maison à ma soeur et l’autre parce que le GPS me faisait passer par un autre chemin que celui recherché. Le GPS me proposait de revenir par l’Ontario (route 101 et la route 17) et à voir la distance qu’il me donnait cela semblait plus long en kilomètre. Après m’en être rendu compte, je suis revenu sur mon chemin pour passer par Val-d’Or et descendre par le parc La Vérendrye. Je me suis, donc rallongé de 30 à 50 km. Mon but était de revenir par les Laurentides, une région que je n’ai pas vue depuis que je suis en âge de comprendre. Je voulais voir les montagnes des Laurentides, mais malheureusement pour moi, cela sera pour une autre fois. La météo encore une fois n’a pas voulu coopérer et les pluies parfois fortes m’empêchait de bien voir le relief. J’ai pu voir les montagnes que rendues au mont Saint-Sauveur. Et je dois dire que lorsqu’on vient de voir les Rocheuses, nos montagnes semblent ridicules. Mais, elles ont toujours leur charme.

Malgré la météo, j’ai trouvé que le chemin se faisait très bien et que dans son ensemble, la route était belle. Vers 16 heures, j’étais déjà arrivé à Laval. Mais, là la route fût très longue. Il eut un accident et cela m’a pris 30-40 minutes pour faire un maigre kilomètre. Rendu sur le boulevard métropolitain (autoroute 40), les panneaux indiquaient cogestions et le tunnel Louis-Hippolyte-Lafontaine, je l’ai traversé à 30 km/h! Je préfère de loin faire 1000 km en une journée que passer une heure dans le trafic de Montréal. Une horreur! Pas moyen de se dégourdir les jambes vu que cela avance tranquillement.

Le reste de la route se fut sans aucun problème et j’étais à nouveau de retour chez moi. Et je pouvais à présent retrouver le confort de mon lit et dormir au chaud… mais les vacances, elles étaient déjà terminées.

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Pour revenir au lieu de prendre la route qui longe le lac Supérieur et qui est terrible long, j’ai choisi de revenir plus au nord et d’entré au Québec par l’Abitibi-Témiscamingue. Et mon objectif était également de passer la dernière nuit de mon voyage au Québec. Pour ce faire au lieu de revenir par la route 17 (transcanadienne), je suis revenu par la route 11 (transcanadienne). Et ce fut un très bon choix.

La route 11 est relativement plat et elle est pratiquement toujours en ligne droite, bref tout le contraire de la route 17. Le seule point en commun, la limite de vitesse de 90 km/h. Un point qui manque à mon goût sur cette route, c’est les haltes routières. Ils se font assez rare ou du moins jamais lorsqu’on en voudrait un.

J’ai fait le plein à Hearst. Je savais qu’il avait des francophones là-bas, mais j’ai été énormément étonné d’être répondu en français au poste à essence. Et je dois dire que j’ai apprécié. C’était tout de même le 1er plein d’essence en français de ce voyage, le 26e plein! Le gars sympa à l’accueil m’a dit que dans la région c’était 50 / 50 pour le français et l’anglais. En continuant ma route, je passe alors à Timmins. C’est la ville de Shania Twain et ils en sont fier. Je vous la laisse découvrir par vous même.

Une fois Timmins passé, le Québec n’est plus très loin. Avant de partir pour ce voyage, j’avais regardé les terrains de camping dans le guide Camping Québec et le premier se trouvant sur la route 388 se trouvait dans le premier village en entrant au Québec à Duparquet. J’ai eu un peu de mal à trouver avec des indications plus ou moins précise, mais je pu enfin prendre un terrain en français, l’unique fois de ce voyage. Pour ce rendre au camping, c’est finalement assez simple. Rendu à la jonction de la 393, allez en direction de Duparquet. Une fois rendu au « centre » du village, continué tout droit et continuer ainsi sur la route en gravier et gardé toujours la droite de celle-ci. Le camping sera à votre droite. C’est pas le plus beau camping de ce voyage, mais cela faisait du bien d’être de retour chez soit, malgré que je suis à 900 km de mon chez moi.

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Étant de retour sur le chemin du début de mon voyage, je ne connaissais à présent la route et j’avais maintenant une idée d’où je voulais coucher. Je voulais retourner dormir à Thunder Bay et pour une 2e journée consécutif, le décalage horaire m’était encore une fois défavorable. J’aurais aimé pouvoir me rendre plus loin, pour facilité le jour 18, mais le décalage ne le permettait pas et la météo n’était pas de mon côté. Mais, celle-ci aura su attendre le temps que je monte ma tente avant de se déchaîné (pluie forte, éclair… ). Mais, pas suffisant pour faire un repas chaud. Dans les circonstances, les sandwichs n’auront pas été mauvaise.

Pour la route, l’autoroute 1 au Manitoba permet de faire rapidement du chemin avec sa limite de vitesse de 110 km/h. Et comme tout est droit et dégagé, tout se fait bien. C’est la route 17 en Ontario qui est longue, très longue à faire avec ces 90 km/h et ses environs très boisé. Mais, pas le choix, c’est le chemin à emprunter pour revenir chez soi par l’Ontario.

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La nuit ayant été assez difficile, je me réveilla tout de même assez de bonne heure, dans le but d’aller dormir à Portage La Prairie au Manitoba. Ayant été déçu par ma nuit, je savais que je passerai une bonne nuit là-bas, vu que j’avais aimé ce camping lors du début du voyage. Et je ne devais pas partir trop tard, car c’est 900 km qui m’attendait et une heure de décalage défavorable.

L’autoroute 16 est pas moment à 2 voies par moment à une seule voie. Mais, plusieurs secteurs de cette autoroute sont en construction dans le but dans faire une véritable autoroute. Comme, je suis dans les Prairies, la terre est relativement plate et avec le vent venant de l’ouest, l’économie d’essence sans trouve avantagé. Cette essence qui se trouve assez rare sur cette route et vaut mieux faire le plein lorsqu’on y pense. Car, je me suis fait joué un tour en arrivant à Saskatoon. Comme Saskatoon est la ville la plus populeuse de Saskatchewan, je me suis dit que j’allais faire le plein en sortant de la ville. Mais, à ma grande surprise, il avait aucun poste d’essence en sortant de la ville. Il en avait que dans la ville. Je me suis dit, il va sûrement en avoir au prochain village, non plus… au suivant, non plus. J’ai fait un bon bout de chemin ainsi avant de m’aventurer en dehors de la transcanadienne pour atteindre un village et faire le plein d’essence ordinaire vu que le super, ils en ont pas. Contrairement à l’autoroute 1, où l’autoroute passe tout près des villages, l’autoroute 16 passe loin des villages et l’essence s’y trouve pour ainsi dire assez rare merci. Mais, les pancartes indiquent la présence ou non du précieux liquide.

À part la rareté du pétrole, de quelques ennuis sur la voiture tout se passe bien. Mais, ces petits ennuis mécaniques commencent à semer un doute sur la voiture et me rappelent encore plus que je suis loin de chez moi. Mais, heureusement pour moi, le reste du voyage se fera sans ennuis.

C’est avec plaisir que je retrouvera Miller’s Camping Resort pour cette nuit. Pour mon 2e passage encore une fois j’aurais des québécois comme voisin. C’est pratiquement l’unique endroit où j’aurais pu parler en français durant ce voyage. Cette nouvelle petite famille m’aura permit de parler et oui parler, parler. Cela m’a manqué un peu et cela faisait du bien de discuter. Moi, je revenais et eux partait pour l’ouest. J’aurais passé une très bien veillé et j’espère pour eux qu’ils auront eu une très beau voyage. Des gens vraiment sympathiques. La différence entre mon premier passage et cette fois-ci, c’est que cette fois-ci j’ai pris l’électricité. J’ai eu assez froid durant mes nuits dans l’ouest que là je voulais dormir au chaud.

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Le terrain de camping Miller’s Camping Resort à Portage La Prairie au Manitoba est un de mes coups de coeur de se voyage. Tout comme le camping Happy Land Park près de Thunder Bay en Ontario, j’y ai fait 2 séjours d’une nuit. L’accueil y est excellente et rien à dire contre la propreté. Seul hic, c’est que les douches y sont payantes (1 $ / 5 min.). Le camping est assez grand et il est situé près de la transcanadienne. Bien que l’autoroute ne soit pas tellement loin, on ne peut pas dire qu’on attend le passage des véhicules. En 2006, il en coûtait 18,02 $ (taxe incluse) pour une nuit pour une tente sans électricité et 21,20$ (taxe incluse) avec électricité.

Je vous le recommande sans aucune hésitation.

Photos prisent le 31 juillet 2006:

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Une fois quitté Jasper, les montagnes font rapidement place a de grandes espaces plus ou moins vallonnées. La route y est large et le trajet jusqu’à Edmonton ce fait très bien et ce malgré le mauvais temps à lequel j’ai droit. Rien de terrible, mais suffisant pour gâcher le décor.

Rendu à Edmonton, je fais un arrêt au West Edmonton Mall, c’est le plus gros centre d’achat et divertissement au Canada. C’est vraiment énorme! Il a des des magasins sur 2 étages, mais c’est les attractions qui étonnent. En marchant dans le mall, je me trouve à un moment donnée devant une zamboni. Et oui, la zamboni refait la glace de la patinoire intérieure du centre d’achat même en juillet! Je continu m’a petite visite que vois-je? Un gros bateau de pirates au centre du mall. Assez impressionnant, je continu et là, c’est un piscine à vague avec des glissades d’eau. En plus des espaces de jeux pour enfant et d’un section style « bar », l’apparence du mall m’impressionne. Surtout lorsqu’on compare à ceux de Victoriaville. En tout cas, il en a pour tous les goûts et de quoi se divertir à se centre d’achat au dimension hors de l’ordinaire.

Une fois cette arrêt terminé, la route reprend de plus belle dans le but de me rendre le plus loin possible en Saskatchewan. Sachant très bien que dans les prochains jours j’aurais de nombreux kilomètres à franchir pour revenir à la maison. Les campings étant assez rare sur ma route et ne sachant où les trouver, je finis par voir un pancarte en indiquant un à North Battleford. Et comme, j’approche les 18 heures, que j’ai pas souper… je choisi de m’y arrêter. Le mauvais temps de Jasper, fait à présent place à de fort vent. Ce vent qui vient de très loin, car aucun arbre ralenti sont passage sur le terrain de camping. Avec beaucoup de difficulté, je réussi à monter ma tente pour la nuit. Le repas aura été aussi difficile à faire chauffer avec ce vent. Comme beaucoup de route m’attend demain, je choisis de me coucher assez tôt, mais par malheur mes voisins n’ont pratiquement pas dormi de la nuit, faisant la fête jusqu’au petit heure de la nuit.

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Bien que la distance de cette journée soit moyenne avec moins de 800 km, en temps, c’est une longue journée. La route de Whislter (route 99 nord) jusqu’à la route 97 est très très sillonneuse. Et la vitesse y est réduite. La vitesse moyenne doit être dans les 60 km/h avec des virages sous les 30 km/h. On y traverse de nombreux ponts qui ne permettent pas de rencontrer d’autres voitures. Et on longe à quelques reprises des falaises qui n’ont parfois aucun garde-fou à ma grande surprise, je l’avoue. Même si le terrain à notre droite se trouve 30 mètres plus bas!

Une fois sur la route 97, je me suis dirigé vers 100 Mile House pour prendre la route 24 qui se trouve un peu avant ce village. J’ai opté par ce chemin pour aller à Jasper. Car, le temps passait très vite et qu’il me restait beaucoup de kilométrage à faire et ne voulant pas arriver trop tard à Jasper, cela me semblait être la meilleure solution. Je craignais d’arriver trop tard à Jasper et de ne pas avoir d’emplacement sur le camping. Avoir eu plus de temps, j’aurais opté pour la route 97 sud pour passer à Kamloops. À ce qu’on m’a dit, à mon retour au Québec, que c’est très beau se coin et le paysage est assez désertique.

Pour revenir au chemin emprunter, la route dans son ensemble se fait assez bien. Bien que la route 24 semble moins importante sur la carte, elle se fait assez bien et la vitesse y est raisonnable (70-80 km/h). J’ai pu faire le plein d’essence une fois rendu à Little Fort sur la route 5 nord. La route 5 ne pose également pas de problème. Le défaut que j’y rapproche est la difficulté à y dépasser les véhicules lourds qui y sont présents, vu la rareté des zones à doubles voies et même dans les côtes. Et souvent, il a plusieurs véhicules lourds chargés de bois qui se suivent.

Côté paysage sur ces routes, on y voit … lire la suite.

Le mont Robson est la plus haute montagne des Rocheuses canadiennes avec une altitude de 3 954 mètres. Par contre, ce n’est pas la plus haute montagne de la Colombie-Britannique. Cette honneur revient au mont Fairweather avec ses 4663 m. Ce dernier est situé sur la frontière entre la Colombie-Britannique et l’Alaska (États-Unis). Le mont Robson est visible depuis la route 16 (transcanadienne ou/et autoroute Yellowhead) en direction de Jasper en Alberta. La montagne se trouve un peu avant d’arriver en Alberta. C’est sans surprise que lors de mon passage, on ne voyait pas le sommet de la montagne. Selon se que j’ai lu sur Wikipédia, le sommet de la montagne est visible environ 14 jours par année. Le mont s’élève beaucoup par rapport au sol environnant. Selon la face de la montagne, le sommet de celui-ci est de 2 400 m à 3 000 m plus haut.

Photo prise le 26 juillet 2006:

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