Bien que l’île de Vancouver peut sembler petite, elle fait tout de même 460 km de longueur et sa largeur varie de 50 à 80 km. Et elle a quelques sommets de plus de 2000 m et qui sont enneigées. Comme la route y est relativement étroite par endroit, que la vitesse n’y est pas très élevé par moment, les déplacements y sont relativement assez long d’un endroit à un autre. Le temps passe plus vite que les kilomètres parcourus.

Mon objectif de cette journée était d’aller dormir à Tofino, de dormir sur le bord de l’océan Pacifique. Dans l’ensemble la route pour se rendre à Tofino, c’est bien fait à part quelques ennuis pour faire le plein d’essence. En parlant d’essence, il n’y a aucun poste d’essence entre Port Alberni et Tofino (le plus près serait à Ucluelet). C’est environ 85 km. Sinon, pour le reste du trajet fait sur l’île, il n’y a aucun problème de ce côté.

Rendu à Tofino, j’ai eu la mauvaise surprise d’apprendre que tous les terrains de camping étaient tous plein. Même les campings qui n’ont pas de douche dans le parc National du Pacific Rim étaient tous pleins. C’est 7-8 terrains de camping! Ce fût une grande déception pour moi, car c’est quelque chose que j’avais prévu de faire dès le début de ce voyage. J’aurais aimé y rester quelques nuits et profiter de la plage de l’île.

Je venais de faire près 6800 km … lire la suite.




La route entre Hope et Vancouver se fait très bien. C’est que 140 km qui sépare les 2 villes. Une fois rendu à Vancouver, je me dirige vers Grouse Mountain pour aller voir la ville dans haut. Avec l’aide de mon GPS et les indications clairs, je m’y rend sans problème. Après avoir payer pour le stationnement, je vais à l’admission pour enfin voir la magnifique ville de Vancouver. C’est pas donné (31,75 $ + taxe), mais depuis le temps que je veux voir Vancouver, cela en veut le détour. Une fois l’admission régler au faut patienter. Il n’y a que 2 téléphériques relie le bas de la montagne au haut de la montagne. Le départ se font à tous les demi-heure. Le téléphérique atteint une altitude de 1128 mètres. En marchant, j’ai atteint le sommet le plus rapproché à 1250 m d’altitude, dans l’espoir de mieux voir la ville. Malheureusement pour moi, malgré le beau ciel bleu, complètement dégagé, la vue de la ville était difficile. Il y avait toujours ce petit voile blanc qui recouvrait Vancouver. Comme c’est souvent le cas (et à ce qu’on me dit, même en hiver), il y avait du brouillard au dessus de la ville. Donc, bien que le vue était très bonne sur la ville, rien n’était clair sur la ville. Déçu certes, mais au moins j’aurais enfin vu Vancouver.

Après être descendu de la montagne, temps limité dû au parcomètre, je me dirige vers le Stanley Park, le parc des Vancouvérois comme il dise. Très beau parc situé sur une île situé entre Vancouver et West Vancouver. De là, la vue y est très magnifique et ce pour un maigre 2 $ de l’heure pour le stationnement. Seul hic, c’est que les places de stationnements sont très rare. Mais, la petite pause pour manger est apprécié.

Une fois la pause terminé, j’indique au GPS que je veux voir la Place du Canada, ensuite le General Motors Place (le domicile des Canucks – LNH) et que je veux me rendre au traversier. Le GPS me donne la route et tout va bien. Mais, il ne m’indique pas à chaque fois que je suis rendu à l’arrêt. Je passe donc tous les arrêts intermédiaires pour me rendre au traversier. Il m’a joué un vilain tour, mais bon ce n’est pas si grave. Le chemin qu’il me fait emprunter, gâche un peu la beauté de Vancouver. La route est rempli de câble électriques qui surcharge le « ciel ». C’est vraiment horrible. Mais, c’est câble sont utile, car ils servent pour un autobus électrique. Utile, mais horrible.

Rendu au traversier de Tsawwassen … lire la suite.

La transcanadienne (route 1) passe par les parcs National de Yoho et le parc National des Glaciers. J’aurais aimé allé voir le lac Émauraude, mais comme je voulais être le plus près possible de Vancouver le lendemain, pour prendre le traversier, j’ai sauté cet arrêt. De plus, j’ai trouvé que la signalisation de ce coin n’aidait pas. Les indications sont données qu’une fois arrivé à destination, donc trop tard… Bien que l’on soit dans les rocheuses, la route y est plat. Le route passe dans le bas de la vallée. Contrairement au train qui passe dans des tunnels, la route contourne les montagnes. Les « tunnels » qu’on traverse, sont plus tôt des « abris » contre les éboulements. Il est donc toujours possible de voir dehors à sa gauche lorsqu’on se dirige vers l’ouest.

Deuxième déception de la journée, je n’ai pas trouvé le chemin pour aller voir le barrage hydro-électrique de Revelstoke. J’ai vu de nombreuses indications, mais j’en ai probablement manqué une et cela a été à oublier. Au lieu de revenir sur mes bas, j’ai préféré continué pour aller voir la région Okanagan.

J’emprunte alors la route 97 pour aller vers Penticton, ensuite la route 3A pour aller à Keremeos qui se veut la capitale des kiostes fruitiers. Remonte ensuite par la route 3 vers Princeton… Finalement, j’ai quitté la région Okanagan sans avoir rien vu de spécial. J’ai pas vu de vergers, pas vu de plantations, bref j’ai été extrêmement déçu et encore plus à mon retour. Sachant que ce détour m’a fait raté quelque chose de beau, le canyon Thompson (route 1 entre Savana et Lytton) et cette région plus aride. Je compare le détour que j’ai fait à ce que l’on voit dans les Appalaches en Estrie au Québec. C’est beau, mais rien d’extra. J’ai probablement pas emprunter le bon chemin pour voir cette région, car tout le monde dit que c’est beau… Et moi, j’ai trouvé le passage de Penticton à Princeton très long et ennuyant.

Pour ce qui est de la route entre lac Louise jusqu’à Kelowna cela descend le 3/4 du temps. La perte d’altitude entre celle-ci est de 1200 mètres. Dans les environs de Penticton, il a un très grosse côte qui monte pendant environ 20 km sans répit et qui nous fait gagner 1000 m d’altitude pour atteindre une auteur de 1700 m au-dessus du niveau de la mer. À partir de ce secteur, j’ai vu de nombreux véhicules en surchauffe. La qualité de la route est dans son ensemble très bien et à plusieurs endroits la route avec été refait à neuf lors de mon passage. … lire la suite.

Plus on roule vers l’ouest, plus les prairies font place à des terres plus arides et les « vallons » font place à des collines. Vous verrez également quelques pompes à pétroles sur l’autoroute 1 en Alberta et en Saskachewan.

En direction de Calgary un peu après Medecine Hat, j’ai fait un arrêt à Brooks dans le but de voir l’aqueduc extérieur construit en 1912. Malheureusement, j’ai trouvé les indications difficiles et confuses et j’ai finalement quitté la ville sans l’avoir vu.

J’ai ensuite pris la direction vers Drumheller. Le paysage est encore une fois, fort différent du reste vu jusqu’ici. Les hoodoos (cheminées de fées) ont toujours leur charme. Cette région est également très riche en fossile de dinosaure. Selon les routes la limite de vitesse en Alberta peut variée de 80 km/h à 110 km/h.

Calgary… ville typique nord-américaine. Les routes y sont assez carrées. Et j’ai aimé avoir un GPS dans celle-ci pour mieux m’orienter. La tour de Calgary offre une belle vue sur la ville. J’y ai aimé la vue, mais je n’ai pas aimé laissé ma voiture sans surveillance dans la rue. L’endroit ne me semblait pas très sûr, vu le nombre de sans abri que j’ai croisé dans les rues en plein après-midi. C’est une réalité des grandes villes, mais je n’ai vraiment pas aimé voir ça et mon image de Calgary y est terni. En plus de savoir qu’ils sont plus de 2000 dans cet état. (Entendu à la radio ce qui ne m’a pas aidé également.)

Comme le temps passe très rapidement et que je veux coucher à lac Louise, j’enlève mon arrêt prévu au mont Tree Sisters à Canmore. Dès là, la vue y est magnifique. Les montagnes y sont majestueuses, les rivières sont turquoises… ah que c’est joli le parc National de Banff… … lire la suite.

L’autoroute est en voie double sur pratiquement toute sa longueur au Manitoba. Mais, ce n’est pas toujours le cas en Saskachewan. Par contre, de nombreuses sections d’autoroute sont en construction pour en faire une véritable autoroute. Lorsque la voie est double la limite de vitesse y est de 110 km/h, tandis qu’en voie simple la limite de vitesse descend à 100 km/h. La route passe également par quelques villages. La vue est typique des Prairies. Tout est vallonné et pour voir les « véritables prairies« , il faut quitter la transcanadienne. C’est là qu’on voit que des champs, il en a à perte de vue en Saskachewan. C’est véritablement joli et parfois presque surréaliste. Avec le vent, les champs semble se transformer en mer, vu l’effet de « vagues ». Bizarre comme effet, mais joli.

Mais, quitter la transcanadienne, c’est quitter la route principale. C’est se retrouver isolé. Car, les villages sont très éloigné les un des autres et par le fait même les postes à essences sont pratiquement absent. Et compter pas trouver de l’essence super (91 octane) dans ces petits villages. Parfois, pour réduire la distance entre les routes perpendiculaires, il sera préférable d’emprunter ces chemins de graviers, sans jamais quitter les yeux sur l’aiguille du réservoir d’essence.

C’est beau certes, mais j’ai été déçu de mon détour à St-Victor, car il a absolument rien à voir. Le paysage est différent, mais pour le temps perdu, cela ne compensait pas le trajet effectué. Par contre, la région des Badlands (mauvaises terres) qui commence dans les environs de Willow Bunch semblent fort intéressante. Mais, mon temps limité et surtout la crainte de manqué d’essence m’a poussé à quitté le plus rapidement possible cette région pour retrouvé la transcanadienne. Les prairies c’est beau… mais cela fini par être long. … lire la suite.

Le camping The Lone Eagle Motel est situé à Herbert en Saskatchewan. Pour être plus précis, il est situé presque immédiatement au bord de l’autoroute transcanadienne (route 1), à quelques pas de la voie ferrée et pour en ajouté un peu plus immédiatement à côté d’un terrain de baseball. J’ai même préféré mettre ma voiture de l’autre côté de la rue, au cas où il y aurait un coup de circuit. Et le gazon était plus beau de l’autre côté de la clôture.

C’est un petit camping en piteux état et en me comptant, on est était 2 à y camper. C’est parce que j’avais fait beaucoup de route cette journée là, car sinon j’aurais passé droit. Même à 16 $, c’est payer beaucoup trop cher. Je le dis et le répète, c’est à fuir!

Photo prise le 18 juillet 2006:

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Les Prairies, Photos
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Les Prairies couvrent un vaste territoire qui touche les provinces de l’Alberta, de la Saskatchewan et du Manitoba. C’est principalement, c’est 2 dernières qui sont le plus touchés. Ce sont de belles terres relativement plates qu’on y retrouve. J’ai remarqué que les terres semblent plus plate au Manitoba que dans les autres provinces. En Saskatchewan, les terres sont plus vallonnées, mais sur de longue distance. Il faut réellement quitter l’autoroute pour se rendre compte de la gigantesque des terres agricoles. La province du Manitoba est plus boisé (surtout des conifères). En Saskatchewan, la culture du blé est reine.

Photos prisent le 18 juillet 2006:

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La route de Thunder Bay à Kenora est très longue et ennuyante. Comme le reste du parcourt en Ontario la limite de vitesse de 90 km/h, ce qui n’aide pas. Le secteur est très boisé. Par contre tout ceci change rapidement une fois rendu au Manitoba. La route devient alors une autoroute, où la limite de vitesse y est de 110 km/h. Le terrain est très plat et il a peu d’arbre. C’est les prairies! Comme, le vent vient souvent de l’ouest, la consommation d’essence s’en resent un peu, malgré la route sans relief. L’autoroute au Manitoba n’a rien à voir avec ce que l’on a au Québec. Oubliez la bretelle de sortie ou les viaducs sur celle-ci. Ils n’existent pas sauf près de Winnipeg. Il a même des kiostes de fruits sur le bord de l’autoroute!

Trajet du jour 3

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Le terrain de camping Miller’s Camping Resort à Portage La Prairie au Manitoba est un de mes coups de coeur de se voyage. Tout comme le camping Happy Land Park près de Thunder Bay en Ontario, j’y ai fait 2 séjours d’une nuit. L’accueil y est excellente et rien à dire contre la propreté. Seul hic, c’est que les douches y sont payantes (1 $ / 5 min.). Le camping est assez grand et il est situé près de la transcanadienne. Bien que l’autoroute ne soit pas tellement loin, on ne peut pas dire qu’on attend le passage des véhicules. En 2006, il en coûtait 18,02 $ (taxe incluse) pour une nuit pour une tente sans électricité et 21,20$ (taxe incluse) avec électricité.

Je vous le recommande sans aucune hésitation.

Photos prisent le 17 juillet 2006:

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La transcanadienne est une route qui relie les 10 provinces canadienne ensemble. La route va de l’océan Atlantique à l’océan Pacifique et parcourt 7 821 km. Cela fait d’elle la plus longue route nationale du monde. L’autoroute commence à l’est à St-John’s à Terre-Neuve et se termine à 2 endroits en Colombie-Britannique soit Victoria et Prince Rupert. C’est une autoroute et cela en n’est pas une. Car, elle emprunte des chemins qui sont plus ou moins important selon la fréquentation passant de 2 à 4 voies selon les endroits, sans compter le passage obliger par un traversier pour atteindre Terre-Neuve ou l’île de Vancouver.

La transcanadienne se trouve également sur plus d’une route selon les provinces et la numérotation n’est pas la même pour chaque province. En Colombie-Britannique, en Alberta, en Saskatchewan et au Manitoba elle porte les numéro 1 et 16. (La route 16 porte également le nom de Yellowhead et celle-ci passe plus au nord que la route 1.)

Dans les autres provinces canadiennes, la transcanadienne emprunte de nombreux numéros et ce parfois dans la même province. La principale en Ontario est la route 17. Au Québec, les principaux sont les autoroutes 20 et 40.

Pour revenir à la transcanadienne au Manitoba, celle-ci est très planche et c’est un autoroute à 4 voies avec une limite permise de 110 km/h. Ce qui fait étrange, c’est qu’il n’y aucune bretelle de sortie, aucun viaduc (à l’exception des environs de Winnipeg) sur cette autoroute. Il suffit de se tasser à gauche ou à droite lors d’un croisement d’une route pour « débarquer » de l’autoroute. Parfois, la « voie » pour se tasser se trouve sur la terre. Étrange, lorsqu’on a l’habitude de voie des viaducs. On voit également des poubelles sur le bord de l’autoroute et même des kiostes de fruits. Surprenez-vous pas de voir passer un tracteur devant vous!

Photo prise le 17 juillet 2006:

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