Le Stanley Park, c’est le parc des vancouvérois. C’est le 3e parc urbain en Amérique du Nord et il est situé à Vancouver en Colombie-Britannique. Le parc se trouve sur une presqu’île de 400 hectares ((1 000 acres). Le parc est peuplé de cèdres et de sapins. En plus d’offrir une belle vue sur différents secteurs de Vancouver, le parc offre des plages, des pistes cyclables, des aires de jeux pour les enfants, un aquarium, des mâts totémiques… bref un bel espace de détente!

Photos prisent le 23 juillet 2006:

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La transcanadienne (route 1) passe par les parcs National de Yoho et le parc National des Glaciers. J’aurais aimé allé voir le lac Émauraude, mais comme je voulais être le plus près possible de Vancouver le lendemain, pour prendre le traversier, j’ai sauté cet arrêt. De plus, j’ai trouvé que la signalisation de ce coin n’aidait pas. Les indications sont données qu’une fois arrivé à destination, donc trop tard… Bien que l’on soit dans les rocheuses, la route y est plat. Le route passe dans le bas de la vallée. Contrairement au train qui passe dans des tunnels, la route contourne les montagnes. Les « tunnels » qu’on traverse, sont plus tôt des « abris » contre les éboulements. Il est donc toujours possible de voir dehors à sa gauche lorsqu’on se dirige vers l’ouest.

Deuxième déception de la journée, je n’ai pas trouvé le chemin pour aller voir le barrage hydro-électrique de Revelstoke. J’ai vu de nombreuses indications, mais j’en ai probablement manqué une et cela a été à oublier. Au lieu de revenir sur mes bas, j’ai préféré continué pour aller voir la région Okanagan.

J’emprunte alors la route 97 pour aller vers Penticton, ensuite la route 3A pour aller à Keremeos qui se veut la capitale des kiostes fruitiers. Remonte ensuite par la route 3 vers Princeton… Finalement, j’ai quitté la région Okanagan sans avoir rien vu de spécial. J’ai pas vu de vergers, pas vu de plantations, bref j’ai été extrêmement déçu et encore plus à mon retour. Sachant que ce détour m’a fait raté quelque chose de beau, le canyon Thompson (route 1 entre Savana et Lytton) et cette région plus aride. Je compare le détour que j’ai fait à ce que l’on voit dans les Appalaches en Estrie au Québec. C’est beau, mais rien d’extra. J’ai probablement pas emprunter le bon chemin pour voir cette région, car tout le monde dit que c’est beau… Et moi, j’ai trouvé le passage de Penticton à Princeton très long et ennuyant.

Pour ce qui est de la route entre lac Louise jusqu’à Kelowna cela descend le 3/4 du temps. La perte d’altitude entre celle-ci est de 1200 mètres. Dans les environs de Penticton, il a un très grosse côte qui monte pendant environ 20 km sans répit et qui nous fait gagner 1000 m d’altitude pour atteindre une auteur de 1700 m au-dessus du niveau de la mer. À partir de ce secteur, j’ai vu de nombreux véhicules en surchauffe. La qualité de la route est dans son ensemble très bien et à plusieurs endroits la route avec été refait à neuf lors de mon passage. … lire la suite.

Le camping Wild Rose Campground est situé à Hope en Colombie-Britannique. C’est un petit camping qui n’a qu’une seule rue et le site se trouve au pied d’une montagne. Il est situé à environ 120 km à l’Est de Vancouver. Le site est propre et les douches y sont gratuites. Le coût d’une nuit, taxe incluse était de 23,32$ en 2006.

Photos prisent le 22 juillet 2006:

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La transcanadienne est une route qui relie les 10 provinces canadienne ensemble. La route va de l’océan Atlantique à l’océan Pacifique et parcourt 7 821 km. Cela fait d’elle la plus longue route nationale du monde. L’autoroute commence à l’est à St-John’s à Terre-Neuve et se termine à 2 endroits en Colombie-Britannique soit Victoria et Prince Rupert. C’est une autoroute et cela en n’est pas une. Car, elle emprunte des chemins qui sont plus ou moins important selon la fréquentation passant de 2 à 4 voies selon les endroits, sans compter le passage obliger par un traversier pour atteindre Terre-Neuve ou l’île de Vancouver.

La transcanadienne se trouve également sur plus d’une route selon les provinces et la numérotation n’est pas la même pour chaque province. En Colombie-Britannique, en Alberta, en Saskatchewan et au Manitoba elle porte les numéro 1 et 16. (La route 16 porte également le nom de Yellowhead et celle-ci passe plus au nord que la route 1.)

Dans les autres provinces canadiennes, la transcanadienne emprunte de nombreux numéros et ce parfois dans la même province. La principale en Ontario est la route 17. Au Québec, les principaux sont les autoroutes 20 et 40.

Pour revenir à la transcanadienne au Manitoba, celle-ci est très planche et c’est un autoroute à 4 voies avec une limite permise de 110 km/h. Ce qui fait étrange, c’est qu’il n’y aucune bretelle de sortie, aucun viaduc (à l’exception des environs de Winnipeg) sur cette autoroute. Il suffit de se tasser à gauche ou à droite lors d’un croisement d’une route pour « débarquer » de l’autoroute. Parfois, la « voie » pour se tasser se trouve sur la terre. Étrange, lorsqu’on a l’habitude de voie des viaducs. On voit également des poubelles sur le bord de l’autoroute et même des kiostes de fruits. Surprenez-vous pas de voir passer un tracteur devant vous!

Photo prise le 17 juillet 2006:

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…et son histoire du rêve à la réalité!

L’ouest canadien… ah quelle belle partie du monde qui m’aura fait tant rêver. Depuis, la première fois que j’en aurais entendu parler, que j’en aurais vu des photos dans mes premiers cours de géographie à l’école. Comment ne peut être frappé par ces décors majestueux, ces plaines à perte de vues, ses montagnes au sommet enneigé, sa vu sur l’océan Pacifique… cela aura été le coup de foudre dès le départ.

Mais, j’en aurais mi du temps avant de réaliser mon rêve d’atteindre Vancouver. Depuis, l’adolescence que je dis à tout le monde qu’à 25 ans, j’irai voir Vancouver. Il aura fallu plus d’une dizaine d’années pour pouvoir respirer l’air de Vancouver. Et au final, il m’aura fallu un an de plus pour le réaliser ce bon vieux rêve.

Un an de plus pour le réaliser, mais on peut dire que cela aura été un an pour le préparer ce voyage de plus de 10 000 km. La préparation en tant que telle aura commencé en juillet 2005, lorsque sur un coup de tête, j’ai été m’acheter une tente pour aller voir le pont de la Confédération qui relie le Nouveau-Brunswick et l’ÃŽle-du-Prince-Édouard. Un périple qui m’aura permis de voir la distance que je peux faire en voiture. Puisqu’avant d’effectuer ce voyage le plus loin que j’avais été avec ma voiture c’est à Montréal et ce n’est même pas 200 km. Là durant ce séjour, j’aurais fait 2600 km en 4 jours, donc une journée de 1300 km. Donc, je savais que je pourrais faire le trajet jusqu’à Vancouver, sans que cela soit trop pénible.

Par le fait même ce voyage de 2005, m’aura permis de voir si j’allais aimer ça dormir dans une tente. Même si j’ai fait du camping avec mes parents depuis mon plus jeune âge, je n’avais jamais dormi avant dans une tente. Étant habitué dès mon jeune âge avec une tente-roulotte et dès 1990, mes parents ont eu une roulotte. Donc, dès là c’était du camping de luxe, avec matelas confortables, chauffages et télévision! Une simple tente allait-elle me convenir? J’aurais au moins découvert que ces petits matelas de mousse sont loin d’être confortables. Mais, à part ça, j’ai aimé ce beau petit voyage… mais là ce sera pour une autre « histoire ». Ce matelas de mousse aura été remplacé par un bon matelas pneumatique pour ce voyage, merci à ma soeur pour le cadeau en passant!

Sachant que la route ne posait pas de problème, de même que pour le camping, il me restait à voir si j’allais avoir le temps nécessaire pour le faire. Et c’est en mars 2006, que j’ai su que j’aurais finalement droit à mes trois semaines de vacances consécutives. Dès, la recherche de documentations à commencer sur le net. J’ai alors fait venir les guides touristiques en français et en anglais des 5 provinces que j’allais rencontrer dans mon voyage. L’Alberta aura été la plus rapide et par chance! Probablement la plus belle avec la Colombie-Britannique qui a également été rapide. L’Ontario par contre, c’est fait attendre tout comme la Saskatchewan, mais bon j’ai fini par recevoir ce que je voulais.

Une fois la documentation trouvée, il me restait à m’y préparer. En 2005, le voyage avait … lire la suite.