Samedi dernier, j’ai été faire un tour de vélo à Lévis et à Québec. Depuis quelques années, mes parents aiment terminer leur saison de camping à Lévis et pour être plus précis au camping Transit. J’avais déjà mi les pieds sur ce camping, mais la dernière fois j’étais plus petit. À ma grande surprise, ce camping de 195 sites semblait plein, surprenant pour un 20 septembre. Faut dire que le camping accueillait un club et vu le 400e de la ville de Québec, tout le monde en obtient les bénéfices. Pour le camping, je n’y ai pas fait le tour, mais c’est un beau camping très très propre et c’est un camping idéal pour ces grosses roulottes, vu la facilité de l’installation.

Le château Frontenac

Mais, si je suis allé à Lévis, ce n’est pas pour le camping, mais pour y faire du vélo. C’est que cela fait plusieurs fois que mes parents me disent que la piste cyclable à Lévis est très belle et ne l’ayant encore jamais fait, il fallait bien que j’aille voir si c’est vrai. Et comme je ne suis pas allé faire de bicyclette à Bromont cette année, l’idée d’aller en faire à Lévis me semblait très bonne.

Je suis arrivé au camping vers 10 heures … lire la suite.

 



La route entre Hope et Vancouver se fait très bien. C’est que 140 km qui sépare les 2 villes. Une fois rendu à Vancouver, je me dirige vers Grouse Mountain pour aller voir la ville dans haut. Avec l’aide de mon GPS et les indications clairs, je m’y rend sans problème. Après avoir payer pour le stationnement, je vais à l’admission pour enfin voir la magnifique ville de Vancouver. C’est pas donné (31,75 $ + taxe), mais depuis le temps que je veux voir Vancouver, cela en veut le détour. Une fois l’admission régler au faut patienter. Il n’y a que 2 téléphériques relie le bas de la montagne au haut de la montagne. Le départ se font à tous les demi-heure. Le téléphérique atteint une altitude de 1128 mètres. En marchant, j’ai atteint le sommet le plus rapproché à 1250 m d’altitude, dans l’espoir de mieux voir la ville. Malheureusement pour moi, malgré le beau ciel bleu, complètement dégagé, la vue de la ville était difficile. Il y avait toujours ce petit voile blanc qui recouvrait Vancouver. Comme c’est souvent le cas (et à ce qu’on me dit, même en hiver), il y avait du brouillard au dessus de la ville. Donc, bien que le vue était très bonne sur la ville, rien n’était clair sur la ville. Déçu certes, mais au moins j’aurais enfin vu Vancouver.

Après être descendu de la montagne, temps limité dû au parcomètre, je me dirige vers le Stanley Park, le parc des Vancouvérois comme il dise. Très beau parc situé sur une île situé entre Vancouver et West Vancouver. De là, la vue y est très magnifique et ce pour un maigre 2 $ de l’heure pour le stationnement. Seul hic, c’est que les places de stationnements sont très rare. Mais, la petite pause pour manger est apprécié.

Une fois la pause terminé, j’indique au GPS que je veux voir la Place du Canada, ensuite le General Motors Place (le domicile des Canucks – LNH) et que je veux me rendre au traversier. Le GPS me donne la route et tout va bien. Mais, il ne m’indique pas à chaque fois que je suis rendu à l’arrêt. Je passe donc tous les arrêts intermédiaires pour me rendre au traversier. Il m’a joué un vilain tour, mais bon ce n’est pas si grave. Le chemin qu’il me fait emprunter, gâche un peu la beauté de Vancouver. La route est rempli de câble électriques qui surcharge le « ciel ». C’est vraiment horrible. Mais, c’est câble sont utile, car ils servent pour un autobus électrique. Utile, mais horrible.

Rendu au traversier de Tsawwassen … lire la suite.

…et son histoire du rêve à la réalité!

L’ouest canadien… ah quelle belle partie du monde qui m’aura fait tant rêver. Depuis, la première fois que j’en aurais entendu parler, que j’en aurais vu des photos dans mes premiers cours de géographie à l’école. Comment ne peut être frappé par ces décors majestueux, ces plaines à perte de vues, ses montagnes au sommet enneigé, sa vu sur l’océan Pacifique… cela aura été le coup de foudre dès le départ.

Mais, j’en aurais mi du temps avant de réaliser mon rêve d’atteindre Vancouver. Depuis, l’adolescence que je dis à tout le monde qu’à 25 ans, j’irai voir Vancouver. Il aura fallu plus d’une dizaine d’années pour pouvoir respirer l’air de Vancouver. Et au final, il m’aura fallu un an de plus pour le réaliser ce bon vieux rêve.

Un an de plus pour le réaliser, mais on peut dire que cela aura été un an pour le préparer ce voyage de plus de 10 000 km. La préparation en tant que telle aura commencé en juillet 2005, lorsque sur un coup de tête, j’ai été m’acheter une tente pour aller voir le pont de la Confédération qui relie le Nouveau-Brunswick et l’ÃŽle-du-Prince-Édouard. Un périple qui m’aura permis de voir la distance que je peux faire en voiture. Puisqu’avant d’effectuer ce voyage le plus loin que j’avais été avec ma voiture c’est à Montréal et ce n’est même pas 200 km. Là durant ce séjour, j’aurais fait 2600 km en 4 jours, donc une journée de 1300 km. Donc, je savais que je pourrais faire le trajet jusqu’à Vancouver, sans que cela soit trop pénible.

Par le fait même ce voyage de 2005, m’aura permis de voir si j’allais aimer ça dormir dans une tente. Même si j’ai fait du camping avec mes parents depuis mon plus jeune âge, je n’avais jamais dormi avant dans une tente. Étant habitué dès mon jeune âge avec une tente-roulotte et dès 1990, mes parents ont eu une roulotte. Donc, dès là c’était du camping de luxe, avec matelas confortables, chauffages et télévision! Une simple tente allait-elle me convenir? J’aurais au moins découvert que ces petits matelas de mousse sont loin d’être confortables. Mais, à part ça, j’ai aimé ce beau petit voyage… mais là ce sera pour une autre « histoire ». Ce matelas de mousse aura été remplacé par un bon matelas pneumatique pour ce voyage, merci à ma soeur pour le cadeau en passant!

Sachant que la route ne posait pas de problème, de même que pour le camping, il me restait à voir si j’allais avoir le temps nécessaire pour le faire. Et c’est en mars 2006, que j’ai su que j’aurais finalement droit à mes trois semaines de vacances consécutives. Dès, la recherche de documentations à commencer sur le net. J’ai alors fait venir les guides touristiques en français et en anglais des 5 provinces que j’allais rencontrer dans mon voyage. L’Alberta aura été la plus rapide et par chance! Probablement la plus belle avec la Colombie-Britannique qui a également été rapide. L’Ontario par contre, c’est fait attendre tout comme la Saskatchewan, mais bon j’ai fini par recevoir ce que je voulais.

Une fois la documentation trouvée, il me restait à m’y préparer. En 2005, le voyage avait … lire la suite.