Inclassable
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Banc de neige 0 Subaru 1, mais il en a fallu de peu pour que le banc de neige est le meilleur ce matin. Hier (dimanche), on a eu droit à notre 2 tempêtes de l’hiver (l’hiver commence pourtant que le 21 décembre) et ceci a laisser pas mal de neige, environ 45 cm. On a ouvert la cours hier après-midi, mais hier soir c’était la véritable tempête de neige vu les forts vents et la visibilité nul. Donc, ce matin à mon réveille tout était calme, mais la neige c’était compacté à cause du vent et avec le bordage laisser par la charrue, il en avait pas mal à franchir pour une voiture.

Comme j’ai toujours voulu trouver les limites de mon Impreza c’était le temps de l’essayer à 5h30 ce matin… j’aurais peut-être du attendre une autre fois. Mais, je me suis élancé. Recule doucement pour commencer, cela va m’est cela semble difficile. Décide d’avancer pour me prendre un peu d’air. Erreur! J’aurais dû continuer en y aller petit à petit. Une fois rendu dans le banc de neige, la WRX refuse d’avance. La met en marche avant, n’avance même pas d’un centimètre. Hum… regarde très mal! Marche arrière, non plus. Avance, recule, avance recule, bouge pratiquement pas. Ouvre la porte, le banc de neige est plus haute que celle-ci, et je vois que la roue arrière tourne, bon signe la traction intégrale fonctionne. Mais, pas plus avancé, l’auto ne touche pas le sol ou presque pas. Continu à avancer et reculer pendant près de 10 minutes et voilà, la voiture se met à caler et je touche le fond et up je sors du banc de neige. J’ai eu chaud et le moteur aussi vu la « fumée » qui sortait du moteur. Mais, j’ai gagné ce premier duel de l’hiver, eh de l’automne. Dire qu’il aura fallu attendre février l’an dernier pour avoir de neige et là, on se demande presque où la mettre cette neige. Mais, je suis content, c’est la 3e hiver de la Suby et c’est la première fois qu’il a véritablement de la neige.

Vive l’hiver et vive Subaru! Suby 1 Banc de neige 0.




…et son histoire du rêve à la réalité!

L’ouest canadien… ah quelle belle partie du monde qui m’aura fait tant rêver. Depuis, la première fois que j’en aurais entendu parler, que j’en aurais vu des photos dans mes premiers cours de géographie à l’école. Comment ne peut être frappé par ces décors majestueux, ces plaines à perte de vues, ses montagnes au sommet enneigé, sa vu sur l’océan Pacifique… cela aura été le coup de foudre dès le départ.

Mais, j’en aurais mi du temps avant de réaliser mon rêve d’atteindre Vancouver. Depuis, l’adolescence que je dis à tout le monde qu’à 25 ans, j’irai voir Vancouver. Il aura fallu plus d’une dizaine d’années pour pouvoir respirer l’air de Vancouver. Et au final, il m’aura fallu un an de plus pour le réaliser ce bon vieux rêve.

Un an de plus pour le réaliser, mais on peut dire que cela aura été un an pour le préparer ce voyage de plus de 10 000 km. La préparation en tant que telle aura commencé en juillet 2005, lorsque sur un coup de tête, j’ai été m’acheter une tente pour aller voir le pont de la Confédération qui relie le Nouveau-Brunswick et l’ÃŽle-du-Prince-Édouard. Un périple qui m’aura permis de voir la distance que je peux faire en voiture. Puisqu’avant d’effectuer ce voyage le plus loin que j’avais été avec ma voiture c’est à Montréal et ce n’est même pas 200 km. Là durant ce séjour, j’aurais fait 2600 km en 4 jours, donc une journée de 1300 km. Donc, je savais que je pourrais faire le trajet jusqu’à Vancouver, sans que cela soit trop pénible.

Par le fait même ce voyage de 2005, m’aura permis de voir si j’allais aimer ça dormir dans une tente. Même si j’ai fait du camping avec mes parents depuis mon plus jeune âge, je n’avais jamais dormi avant dans une tente. Étant habitué dès mon jeune âge avec une tente-roulotte et dès 1990, mes parents ont eu une roulotte. Donc, dès là c’était du camping de luxe, avec matelas confortables, chauffages et télévision! Une simple tente allait-elle me convenir? J’aurais au moins découvert que ces petits matelas de mousse sont loin d’être confortables. Mais, à part ça, j’ai aimé ce beau petit voyage… mais là ce sera pour une autre « histoire ». Ce matelas de mousse aura été remplacé par un bon matelas pneumatique pour ce voyage, merci à ma soeur pour le cadeau en passant!

Sachant que la route ne posait pas de problème, de même que pour le camping, il me restait à voir si j’allais avoir le temps nécessaire pour le faire. Et c’est en mars 2006, que j’ai su que j’aurais finalement droit à mes trois semaines de vacances consécutives. Dès, la recherche de documentations à commencer sur le net. J’ai alors fait venir les guides touristiques en français et en anglais des 5 provinces que j’allais rencontrer dans mon voyage. L’Alberta aura été la plus rapide et par chance! Probablement la plus belle avec la Colombie-Britannique qui a également été rapide. L’Ontario par contre, c’est fait attendre tout comme la Saskatchewan, mais bon j’ai fini par recevoir ce que je voulais.

Une fois la documentation trouvée, il me restait à m’y préparer. En 2005, le voyage avait … lire la suite.

Pour la 3e journée de voyage, j’avais planifié d’aller voir les rochers d’Hopewell Rocks. Sans vraiment le savoir, j’en avais vu un aperçu au loin, puisse que du bout du terrain de camping, j’en voyais un petite partie. Mais, avant d’y aller je devais changer d’emplacement sur le terrain de camping. La première nuit, j’avais pu avoir l’électricité, mais pour la seconde je devais changer de terrain, car ce dernier était réservé. La première nuit, c’était faite près du bâtiment où l’on trouve les toilettes et les douches, la seconde allait se faire plus près de la baie de Fundy, mais loin de tout service. J’aurais pu m’installer près de celle-ci, mais j’ai choisi un emplacement entre les 2, car cela faisait loin pour avoir accès au service du terrain de camping.

Avant de changer de terrain, j’ai un peu « parlé » avec mon voisin de terrain. Parler, c’est un gros mot, car les temps morts étaient plus présent que les mots dits. Lui parlant anglais et moi ayant des connaissances très limités, les « phrases » étaient longue à sortir. Mais, c’était drôle de nous voir essayer de trouver les mots pour se comprendre. Ce que l’on réussissait à faire après un certain temps. Un beau moment, malgré tout. La Rex (c’est ainsi que les anglophones appelle la Subaru Impreza), c’était également fait remarqué…

Une fois le changement d’emplacement effectué, je suis parti voir les rochers d’Hopewell Rocks. Avant de partir pour se voyage, j’avais fait imprimer l’horaire des marées pour pouvoir bénéficier d’une marée basse le plus longtemps possible et avec le maximum de temps pour tout voir. Le coût d’accès au site était de 8 $ par adulte. L’accès permet d’avoir accès au site pendant 24 heures. Il est donc possible d’y retourner le lendemain où à différent moment de la journée pour voir la marée haute et basse. Sauf qu’après 20 heures, les barrières du stationnement ferme.

Une fois l’entrée payer, un petit sentier pédestre … lire la suite.