Le camping Bon Vent est situé à Duparquet au Québec. Duparquet est la première municipalité au Québec, lorsqu’on arrive par la route 101 en Ontario. La route 101 devient la route 388 rendu au Québec. Le camping et de taille moyenne et c’est assez propre. Les douches y sont gratuites. Ce camping d’Abitibi-Témiscamingue coûtait 15 $ en 2006 pour un terrain pour une tente avec électricité. Difficile à battre côté prix et service!

Photos prisent le 1 août 2006:

… lire la suite.




Étant de retour sur le chemin du début de mon voyage, je ne connaissais à présent la route et j’avais maintenant une idée d’où je voulais coucher. Je voulais retourner dormir à Thunder Bay et pour une 2e journée consécutif, le décalage horaire m’était encore une fois défavorable. J’aurais aimé pouvoir me rendre plus loin, pour facilité le jour 18, mais le décalage ne le permettait pas et la météo n’était pas de mon côté. Mais, celle-ci aura su attendre le temps que je monte ma tente avant de se déchaîné (pluie forte, éclair… ). Mais, pas suffisant pour faire un repas chaud. Dans les circonstances, les sandwichs n’auront pas été mauvaise.

Pour la route, l’autoroute 1 au Manitoba permet de faire rapidement du chemin avec sa limite de vitesse de 110 km/h. Et comme tout est droit et dégagé, tout se fait bien. C’est la route 17 en Ontario qui est longue, très longue à faire avec ces 90 km/h et ses environs très boisé. Mais, pas le choix, c’est le chemin à emprunter pour revenir chez soi par l’Ontario.

… lire la suite.

Le camping Happy Land Park est situé à environ 20 km à l’ouest de Thunder Bay en Ontario. C’est un camping de taille moyenne qui offre toutes les commodités nécessaires. Les toilettes et les douches se trouvent dans 2 bâtiments séparés par quelques rues. Le camping est propre et les douches y sont gratuites. Le coût d’une nuit en 2006 pour une tente sans électricité est de 24 $ et avec électricité de 27 $.

J’ai tellement aimé mon séjour se sur terrain, car je m’y suis arrêté en montant et en revenant de mon voyage. Vous pouvez avoir plus d’information sur ce terrain de camping sur leur site web: www.happylandpark.com.

Photos prisent le 1 août 2006:

… lire la suite.

La nuit ayant été assez difficile, je me réveilla tout de même assez de bonne heure, dans le but d’aller dormir à Portage La Prairie au Manitoba. Ayant été déçu par ma nuit, je savais que je passerai une bonne nuit là-bas, vu que j’avais aimé ce camping lors du début du voyage. Et je ne devais pas partir trop tard, car c’est 900 km qui m’attendait et une heure de décalage défavorable.

L’autoroute 16 est pas moment à 2 voies par moment à une seule voie. Mais, plusieurs secteurs de cette autoroute sont en construction dans le but dans faire une véritable autoroute. Comme, je suis dans les Prairies, la terre est relativement plate et avec le vent venant de l’ouest, l’économie d’essence sans trouve avantagé. Cette essence qui se trouve assez rare sur cette route et vaut mieux faire le plein lorsqu’on y pense. Car, je me suis fait joué un tour en arrivant à Saskatoon. Comme Saskatoon est la ville la plus populeuse de Saskatchewan, je me suis dit que j’allais faire le plein en sortant de la ville. Mais, à ma grande surprise, il avait aucun poste d’essence en sortant de la ville. Il en avait que dans la ville. Je me suis dit, il va sûrement en avoir au prochain village, non plus… au suivant, non plus. J’ai fait un bon bout de chemin ainsi avant de m’aventurer en dehors de la transcanadienne pour atteindre un village et faire le plein d’essence ordinaire vu que le super, ils en ont pas. Contrairement à l’autoroute 1, où l’autoroute passe tout près des villages, l’autoroute 16 passe loin des villages et l’essence s’y trouve pour ainsi dire assez rare merci. Mais, les pancartes indiquent la présence ou non du précieux liquide.

À part la rareté du pétrole, de quelques ennuis sur la voiture tout se passe bien. Mais, ces petits ennuis mécaniques commencent à semer un doute sur la voiture et me rappelent encore plus que je suis loin de chez moi. Mais, heureusement pour moi, le reste du voyage se fera sans ennuis.

C’est avec plaisir que je retrouvera Miller’s Camping Resort pour cette nuit. Pour mon 2e passage encore une fois j’aurais des québécois comme voisin. C’est pratiquement l’unique endroit où j’aurais pu parler en français durant ce voyage. Cette nouvelle petite famille m’aura permit de parler et oui parler, parler. Cela m’a manqué un peu et cela faisait du bien de discuter. Moi, je revenais et eux partait pour l’ouest. J’aurais passé une très bien veillé et j’espère pour eux qu’ils auront eu une très beau voyage. Des gens vraiment sympathiques. La différence entre mon premier passage et cette fois-ci, c’est que cette fois-ci j’ai pris l’électricité. J’ai eu assez froid durant mes nuits dans l’ouest que là je voulais dormir au chaud.

… lire la suite.

Le terrain de camping Miller’s Camping Resort à Portage La Prairie au Manitoba est un de mes coups de coeur de se voyage. Tout comme le camping Happy Land Park près de Thunder Bay en Ontario, j’y ai fait 2 séjours d’une nuit. L’accueil y est excellente et rien à dire contre la propreté. Seul hic, c’est que les douches y sont payantes (1 $ / 5 min.). Le camping est assez grand et il est situé près de la transcanadienne. Bien que l’autoroute ne soit pas tellement loin, on ne peut pas dire qu’on attend le passage des véhicules. En 2006, il en coûtait 18,02 $ (taxe incluse) pour une nuit pour une tente sans électricité et 21,20$ (taxe incluse) avec électricité.

Je vous le recommande sans aucune hésitation.

Photos prisent le 31 juillet 2006:

… lire la suite.

Une fois quitté Jasper, les montagnes font rapidement place a de grandes espaces plus ou moins vallonnées. La route y est large et le trajet jusqu’à Edmonton ce fait très bien et ce malgré le mauvais temps à lequel j’ai droit. Rien de terrible, mais suffisant pour gâcher le décor.

Rendu à Edmonton, je fais un arrêt au West Edmonton Mall, c’est le plus gros centre d’achat et divertissement au Canada. C’est vraiment énorme! Il a des des magasins sur 2 étages, mais c’est les attractions qui étonnent. En marchant dans le mall, je me trouve à un moment donnée devant une zamboni. Et oui, la zamboni refait la glace de la patinoire intérieure du centre d’achat même en juillet! Je continu m’a petite visite que vois-je? Un gros bateau de pirates au centre du mall. Assez impressionnant, je continu et là, c’est un piscine à vague avec des glissades d’eau. En plus des espaces de jeux pour enfant et d’un section style « bar », l’apparence du mall m’impressionne. Surtout lorsqu’on compare à ceux de Victoriaville. En tout cas, il en a pour tous les goûts et de quoi se divertir à se centre d’achat au dimension hors de l’ordinaire.

Une fois cette arrêt terminé, la route reprend de plus belle dans le but de me rendre le plus loin possible en Saskatchewan. Sachant très bien que dans les prochains jours j’aurais de nombreux kilomètres à franchir pour revenir à la maison. Les campings étant assez rare sur ma route et ne sachant où les trouver, je finis par voir un pancarte en indiquant un à North Battleford. Et comme, j’approche les 18 heures, que j’ai pas souper… je choisi de m’y arrêter. Le mauvais temps de Jasper, fait à présent place à de fort vent. Ce vent qui vient de très loin, car aucun arbre ralenti sont passage sur le terrain de camping. Avec beaucoup de difficulté, je réussi à monter ma tente pour la nuit. Le repas aura été aussi difficile à faire chauffer avec ce vent. Comme beaucoup de route m’attend demain, je choisis de me coucher assez tôt, mais par malheur mes voisins n’ont pratiquement pas dormi de la nuit, faisant la fête jusqu’au petit heure de la nuit.

… lire la suite.

Le camping David Laird Campground est situé à North Battleford en Saskatchewan. De tous les campings visités durant mon voyage, c’est le moins cher à 13 $ (sans électricité). Le camping offre également des emplacements avec les 3 services. La propreté laisse a désiré et les douches y sont gratuites.

Ce qui marquera mon passage ici, c’est le vent. Mon site était dépourvu d’arbres. Et au nord de mon emplacement, se trouvait un champ et le vent venait de là. Le vent était également très présent. J’ai pensé un moment que je ne réussirais jamais à monter ma tente, vu le nombre de pas que j’ai fait avec. Pas évident de monter une tente seule, avec un vent si fort. J’ai fini par bloquer une partie du vent, en déplacement ma voiture et en collant le plus possible la tente sur ce dernier. Même faire cuir le repas aura mis une éternité et le pire là-dedans c’est qu’il faisait beau.

Bien que le camping ne soit pas très cher, je vous recommande de passer droit. Le prix représente bien la valeur de se dernier.

Photos prisent le 29 juillet 2006:

… lire la suite.

Cette journée aura été assez calme, la fatigue se faisant un peu sentir, les visites auront été moins longues. Et la météo pour la première fois du voyage aura été moins belle. Jusqu’ici, j’aurais eu droit à de beaux ciels bleus, mais pour cette dernière journée complète à Jasper, le ciel aura été plus gris avec une averse en fin d’après-midi (et dans la nuit). Mais, j’ai tout de même été voir quelques endroits, mais la motivation était un peu moins là et cela a probablement influencé mon opinion des endroits visités.

Premier arrêt de la journée, le canyon Maligne. C’est une étroite gorge de 50 mètres de profondeur. L’endroit est facile d’accès et il n’est pas nécessairement très long à voir. Après une vingtaine de minutes, on a pas mal fait le tour.

Deuxième arrêt de la journée, le lac Maligne. Le lac a une longueur de 22 km, mais vu sa forme, on ne peut le voir au premier coup d’oeil. Il est possible de faire une croisière sur le lac, mais je me suis contenté de le voir depuis la rive. Et des sentiers, ce n’est pas ça qui manque au lac Maligne. Je ne peux dire le nombre de kilomètres, mais ils doivent se rendre jusqu’à l’autre bout du lac. Par contre, contrairement au sentier que l’on voit au lac Louise, ceux-ci sont moins praticables. Les sentiers sont dans le bois et suivre le relief du sol, des racines d’arbres… c’est vraiment marcher dans le bois. J’ai marché un peu, mais je n’aimais pas trop ça. On n’est pas supposé marché seul et étant seul, je n’avais pas le choix si je voulais voir. Mais, contrairement au lac Louise ou au lac Moraine, il n’y a pas beaucoup de monde et on se trouve à être seul, sans réellement personne devant soit ou derrière. La crainte de voir un ours et l’épuisement se faisant sentir, je dois avoir marché 20-30 minutes avant de revenir sur mes pas. Mais, j’ai tout de même eu la chance de voir un petit chevreuil passer à un mètre de moi sur le sentier que j’avais emprunté. Ce lac en vaut probablement la peine et avoir été deux, j’en aurais probablement profité plus.

De retour vers Jasper, j’ai fait un arrêt au lac Medecine pour y prendre des photos. Le décor s’y prête très bien pour ceci. Le lac avec quelques tables de pique-niques se trouve tout juste au bord de la route. Le lac Medecine alimente l’un des plus importants réseaux fluviaux souterrains de l’Amérique du Nord (Guide des Montagnes).

Une fois près de Jasper, j’ai été voir les lacs Annette et Edith. Ce sont deux petits lacs bordés de plages sablonneuses où il est possible de se baigner. Un petit sentier pavé permet de faire le tour du lac Annette. Il en prend près d’une demi-heure pour en faire son tour. Tout comme les autres lacs de la région, l’eau y est turquoise. Depuis le lac Annette, on y a une bonne vue sur le mont Pyramid. Son nom provient de sa forme et la montagne atteint les 2766 mètres d’altitude.

… lire la suite.

La 13e journée de ce voyage, et la première journée de visite à Jasper, a commencé au mont Edith Cavell. Comme les foules y sont présentes, j’ai suivi les conseils du guide des montagnes et je suis arrivé tôt. (Arriver avant 10 h ou après 15h de préférence.) C’était assez désert et c’était très bien ici. Le mont Edith Cavell culmine à 3368 mètres et son nom souligne la mémoire de l’infirmière en chef anglaise de l’hôpital de la Croix-Rouge à Bruxelles.

Une fois arrivée, il suffit d’emprunter un petit sentier pas tellement long (10-15 minutes) pour pouvoir atteindre le pied de la montagne. Tout au long du sentier, des écriteaux nous en apprennent un peu sur l’histoire de cette montagne. On apprend par exemple qu’un peu plus bas, d’où l’on est et où on voit une jeune forêt de conifères, il a 50 ans, le glacier s’étendait jusque-là. Le glacier a pour ainsi dire disparu à la base de la montagne. Le sentier où l’on passe, on y voit que la vie y retrouve doucement sa place et que de jeunes conifères y poussent. C’est même incroyable que ces arbres poussent dans ce tas de roches.

Au pied de la montagne, on y voit un « petit lac » avec des fragments de glacier. On y voit également le glacier Angel. Son nom lui vient du fait que sa forme rappelle les ailes d’un ange. Mais, le plus beau c’est lorsqu’on regarde plus dans la vallée, dans la direction qu’on a stationné notre voiture. Les couleurs y sont magnifiques. C’est un de mes coups de coeur de ce voyage et une très bonne surprise.

Mon 2e arrêt de la journée a été les chutes Athabasca (et non Arthabaska comme on connaît à Victoriaville). Les chutes ont une hauteur de 23 mètres et ils ont le plus grand débit d’eau des 4 parcs Nationaux des Rocheuses. À part voir l’eau s’engouffrer dans la pierre et d’attendre le bruit de celle-ci, j’ai trouvé cela ordinaire. C’est que la vue n’y est pas à son meilleur, on se trouve très près de celle-ci et pratiquement au-dessus. C’est loin d’être l’idéal pour y prendre des photos. Mais, comme les chutes sont accessibles pratiquement depuis le stationnement, un petit arrêt d’une dizaine de minutes n’est pas mauvais et cela fait différent des lacs et des montagnes du parc.

La visite du jour aura certainement été le champ de glace Columbia. … lire la suite.

Le camping Whistler’s est situé au sud-ouest de Jasper dans le parc national de Jasper en Alberta. C’est un gros camping de 781 emplacements. C’est sur ce dernier et depuis mon emplacement que j’ai vu plusieurs Wapitis. À un certain moment, il en avait une vingtaine devant ma tente.

Photos prisent le 27 juillet 2006:

… lire la suite.