Le traversier qui relie Tsawwassen et Swartz Bay permet de rejoindre Vancouver à Victoria en 1h35 (de bateau). C’est 24 miles nautiques que le traversier parcourt dans le détroit de Georgia. Le traversier passe près de plusieurs îles avant de rejoindre l’ÃŽle de Vancouver, où la capitale de la Colombie-Britannique s’y retrouve, Victoria. Permis les quelques îles que l’on voit durant le séjour abord du traversier, il y a les îles: Galiano, Mayne, Prevost, Pender, Saltsprings, Portland et Piers. Près de la moitié de la traverse se fait à travers ces îles, dont on se sent moins éloigner de la terre que lors de la traverse Departure Bay à Horseshoe Bay.

British Columbia Ferry Services Inc. ou BC Ferries est la société qui s’occupe des traversiers. Elle exploite 36 navires pour une capacité de capacité de 27 000 passagers pour 25 itinéraires. L’itinéraire Tsawwassen à Swartz Bay est le plus important et c’est là également que les bateaux ayant les plus grandes capacité sont.

Lors de ma traversée, j’ai pris le Queen of Saanich. C’est l’un des 2 traversiers (l’autre étant le Queen of Vancouver) qui prend la relève des 2 principaux (Spirit of Vancouver Island et Spirit of Bristish Columbia) selon la demande.

  • Spirit of Vancouver Island: Construit en 1994, longueur: 167,57 m, capacité de 470 voitures et 2100 passagers
  • Spirit of Bristish Columbia: Construit en 1994, longueur: 167,57 m, capacité de 470 voitures et 2100 passagers
  • Queen of Saanich: Construit en 1963, longueur: 129,97 m, capacité de 360 voitures et 1708 passagers
  • Queen of Vancouver: Construit en 1962, longueur: 129,97 m, capacité de 338 voitures et 1708 passagers

Chacun offre tout le nécessaire pour passer un agréable trajet: cafétérias, boutiques souvenirs, arcade…

La traversée m’a coûté 52,25$ en 2006. (Coût pour une voiture de dimension normal et un adulte.)

Photos prisent le 23 juillet 2006:

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La transcanadienne (route 1) passe par les parcs National de Yoho et le parc National des Glaciers. J’aurais aimé allé voir le lac Émauraude, mais comme je voulais être le plus près possible de Vancouver le lendemain, pour prendre le traversier, j’ai sauté cet arrêt. De plus, j’ai trouvé que la signalisation de ce coin n’aidait pas. Les indications sont données qu’une fois arrivé à destination, donc trop tard… Bien que l’on soit dans les rocheuses, la route y est plat. Le route passe dans le bas de la vallée. Contrairement au train qui passe dans des tunnels, la route contourne les montagnes. Les « tunnels » qu’on traverse, sont plus tôt des « abris » contre les éboulements. Il est donc toujours possible de voir dehors à sa gauche lorsqu’on se dirige vers l’ouest.

Deuxième déception de la journée, je n’ai pas trouvé le chemin pour aller voir le barrage hydro-électrique de Revelstoke. J’ai vu de nombreuses indications, mais j’en ai probablement manqué une et cela a été à oublier. Au lieu de revenir sur mes bas, j’ai préféré continué pour aller voir la région Okanagan.

J’emprunte alors la route 97 pour aller vers Penticton, ensuite la route 3A pour aller à Keremeos qui se veut la capitale des kiostes fruitiers. Remonte ensuite par la route 3 vers Princeton… Finalement, j’ai quitté la région Okanagan sans avoir rien vu de spécial. J’ai pas vu de vergers, pas vu de plantations, bref j’ai été extrêmement déçu et encore plus à mon retour. Sachant que ce détour m’a fait raté quelque chose de beau, le canyon Thompson (route 1 entre Savana et Lytton) et cette région plus aride. Je compare le détour que j’ai fait à ce que l’on voit dans les Appalaches en Estrie au Québec. C’est beau, mais rien d’extra. J’ai probablement pas emprunter le bon chemin pour voir cette région, car tout le monde dit que c’est beau… Et moi, j’ai trouvé le passage de Penticton à Princeton très long et ennuyant.

Pour ce qui est de la route entre lac Louise jusqu’à Kelowna cela descend le 3/4 du temps. La perte d’altitude entre celle-ci est de 1200 mètres. Dans les environs de Penticton, il a un très grosse côte qui monte pendant environ 20 km sans répit et qui nous fait gagner 1000 m d’altitude pour atteindre une auteur de 1700 m au-dessus du niveau de la mer. À partir de ce secteur, j’ai vu de nombreux véhicules en surchauffe. La qualité de la route est dans son ensemble très bien et à plusieurs endroits la route avec été refait à neuf lors de mon passage. … lire la suite.

La transcanadienne est une route qui relie les 10 provinces canadienne ensemble. La route va de l’océan Atlantique à l’océan Pacifique et parcourt 7 821 km. Cela fait d’elle la plus longue route nationale du monde. L’autoroute commence à l’est à St-John’s à Terre-Neuve et se termine à 2 endroits en Colombie-Britannique soit Victoria et Prince Rupert. C’est une autoroute et cela en n’est pas une. Car, elle emprunte des chemins qui sont plus ou moins important selon la fréquentation passant de 2 à 4 voies selon les endroits, sans compter le passage obliger par un traversier pour atteindre Terre-Neuve ou l’île de Vancouver.

La transcanadienne se trouve également sur plus d’une route selon les provinces et la numérotation n’est pas la même pour chaque province. En Colombie-Britannique, en Alberta, en Saskatchewan et au Manitoba elle porte les numéro 1 et 16. (La route 16 porte également le nom de Yellowhead et celle-ci passe plus au nord que la route 1.)

Dans les autres provinces canadiennes, la transcanadienne emprunte de nombreux numéros et ce parfois dans la même province. La principale en Ontario est la route 17. Au Québec, les principaux sont les autoroutes 20 et 40.

Pour revenir à la transcanadienne au Manitoba, celle-ci est très planche et c’est un autoroute à 4 voies avec une limite permise de 110 km/h. Ce qui fait étrange, c’est qu’il n’y aucune bretelle de sortie, aucun viaduc (à l’exception des environs de Winnipeg) sur cette autoroute. Il suffit de se tasser à gauche ou à droite lors d’un croisement d’une route pour « débarquer » de l’autoroute. Parfois, la « voie » pour se tasser se trouve sur la terre. Étrange, lorsqu’on a l’habitude de voie des viaducs. On voit également des poubelles sur le bord de l’autoroute et même des kiostes de fruits. Surprenez-vous pas de voir passer un tracteur devant vous!

Photo prise le 17 juillet 2006:

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Dès qu’on arrive sur le sol de l’ÃŽle-du-Prince-Édouard la première chose qui nous frappe, c’est le village construit de toute pièce pour le pont, Gateway Village. Et c’est là que je me suis dit, cela va coûté cher ici. On y trouve une rue complète de boutiques de souvenirs… bref c’est un village pour les touristes. Les stationnements de ce village sont rapide remplis et on se trouve donc à stationner notre véhicule sur la pelouse. Une chose intéressante de ce côté est la présence d’une petite section du pont qui nous montre la construction de celui-ci. Tout au tour de celui-ci, et l’où on marche, il a des briques avec des noms. Ce sont les noms de chacune des personnes qui ont travaillé sur la construction de ce celui-ci. Ces 2 079 ouvriers et 415 cadres que la construction a nécessitée et plus de 3 000 autres emplois indirects.

Une fois un petit tour dans les boutiques effectuées, je me suis mi à la recherche d’un site pour avoir une meilleure vue sur le pont de la Confédération. Un peu plus un sud du pont, j’avais une meilleure vue que depuis Gateway Village, mais ce n’était pas aussi bon que depuis le Nouveau-Brunswick. La courbe n’était pas du bon côté. Il aurait fallu que j’aille voir au nord du pont, mais il ne semblait pas avoir d’endroit intéressant, à ma première vue.

J’ai repris la route avec comme objectif … lire la suite.