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Cela faisait un moment que je n’avais pas ajouté de contenu et c’est ce que j’ai fait aujourd’hui. Aujourd’hui, j’ai fait le tri dans les photos prisent dans les Prairies, ainsi que dans les campings de l’Ontario et du Québec. Il ne reste plus que quelques photos prises en Alberta et le tri des photos du voyage dans l’Ouest canadien sera fini. Cette fois-ci, certaines pages sont volontairement publiées en double, car j’ai passé à ces terrains de camping en montant et en revenant du voyage. Je mets les pages en double pour respecter l’ordre chronologique.

Camping Glenview Cabins à Sault Ste-Marie en Ontario

Camping Happy Land Park à Thunder Bay en Ontario

Photo de la transcanadienne au Manitoba

Camping Miller’s Camping Resort à Portage La Prairie au Manitoba

Régina

En direction de Willow Bunch

Pétroglyphes à Saint-Victor

Photos des Prairies

Camping The Lone Eagle Motel à Herbert en Saskatchewan

Levée du soleil en Saskatchewan

Camping David Laird Campground à North Battleford en Saskatchewan

Camping Miller’s Camping Resort à Portage La Prairie au Manitoba

Camping Happy Land Park à Thunder Bay en Ontario

Camping Bon Vent à Duparquet au Québec




La nuit ayant été assez difficile, je me réveilla tout de même assez de bonne heure, dans le but d’aller dormir à Portage La Prairie au Manitoba. Ayant été déçu par ma nuit, je savais que je passerai une bonne nuit là-bas, vu que j’avais aimé ce camping lors du début du voyage. Et je ne devais pas partir trop tard, car c’est 900 km qui m’attendait et une heure de décalage défavorable.

L’autoroute 16 est pas moment à 2 voies par moment à une seule voie. Mais, plusieurs secteurs de cette autoroute sont en construction dans le but dans faire une véritable autoroute. Comme, je suis dans les Prairies, la terre est relativement plate et avec le vent venant de l’ouest, l’économie d’essence sans trouve avantagé. Cette essence qui se trouve assez rare sur cette route et vaut mieux faire le plein lorsqu’on y pense. Car, je me suis fait joué un tour en arrivant à Saskatoon. Comme Saskatoon est la ville la plus populeuse de Saskatchewan, je me suis dit que j’allais faire le plein en sortant de la ville. Mais, à ma grande surprise, il avait aucun poste d’essence en sortant de la ville. Il en avait que dans la ville. Je me suis dit, il va sûrement en avoir au prochain village, non plus… au suivant, non plus. J’ai fait un bon bout de chemin ainsi avant de m’aventurer en dehors de la transcanadienne pour atteindre un village et faire le plein d’essence ordinaire vu que le super, ils en ont pas. Contrairement à l’autoroute 1, où l’autoroute passe tout près des villages, l’autoroute 16 passe loin des villages et l’essence s’y trouve pour ainsi dire assez rare merci. Mais, les pancartes indiquent la présence ou non du précieux liquide.

À part la rareté du pétrole, de quelques ennuis sur la voiture tout se passe bien. Mais, ces petits ennuis mécaniques commencent à semer un doute sur la voiture et me rappelent encore plus que je suis loin de chez moi. Mais, heureusement pour moi, le reste du voyage se fera sans ennuis.

C’est avec plaisir que je retrouvera Miller’s Camping Resort pour cette nuit. Pour mon 2e passage encore une fois j’aurais des québécois comme voisin. C’est pratiquement l’unique endroit où j’aurais pu parler en français durant ce voyage. Cette nouvelle petite famille m’aura permit de parler et oui parler, parler. Cela m’a manqué un peu et cela faisait du bien de discuter. Moi, je revenais et eux partait pour l’ouest. J’aurais passé une très bien veillé et j’espère pour eux qu’ils auront eu une très beau voyage. Des gens vraiment sympathiques. La différence entre mon premier passage et cette fois-ci, c’est que cette fois-ci j’ai pris l’électricité. J’ai eu assez froid durant mes nuits dans l’ouest que là je voulais dormir au chaud.

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Une fois quitté Jasper, les montagnes font rapidement place a de grandes espaces plus ou moins vallonnées. La route y est large et le trajet jusqu’à Edmonton ce fait très bien et ce malgré le mauvais temps à lequel j’ai droit. Rien de terrible, mais suffisant pour gâcher le décor.

Rendu à Edmonton, je fais un arrêt au West Edmonton Mall, c’est le plus gros centre d’achat et divertissement au Canada. C’est vraiment énorme! Il a des des magasins sur 2 étages, mais c’est les attractions qui étonnent. En marchant dans le mall, je me trouve à un moment donnée devant une zamboni. Et oui, la zamboni refait la glace de la patinoire intérieure du centre d’achat même en juillet! Je continu m’a petite visite que vois-je? Un gros bateau de pirates au centre du mall. Assez impressionnant, je continu et là, c’est un piscine à vague avec des glissades d’eau. En plus des espaces de jeux pour enfant et d’un section style « bar », l’apparence du mall m’impressionne. Surtout lorsqu’on compare à ceux de Victoriaville. En tout cas, il en a pour tous les goûts et de quoi se divertir à se centre d’achat au dimension hors de l’ordinaire.

Une fois cette arrêt terminé, la route reprend de plus belle dans le but de me rendre le plus loin possible en Saskatchewan. Sachant très bien que dans les prochains jours j’aurais de nombreux kilomètres à franchir pour revenir à la maison. Les campings étant assez rare sur ma route et ne sachant où les trouver, je finis par voir un pancarte en indiquant un à North Battleford. Et comme, j’approche les 18 heures, que j’ai pas souper… je choisi de m’y arrêter. Le mauvais temps de Jasper, fait à présent place à de fort vent. Ce vent qui vient de très loin, car aucun arbre ralenti sont passage sur le terrain de camping. Avec beaucoup de difficulté, je réussi à monter ma tente pour la nuit. Le repas aura été aussi difficile à faire chauffer avec ce vent. Comme beaucoup de route m’attend demain, je choisis de me coucher assez tôt, mais par malheur mes voisins n’ont pratiquement pas dormi de la nuit, faisant la fête jusqu’au petit heure de la nuit.

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Plus on roule vers l’ouest, plus les prairies font place à des terres plus arides et les « vallons » font place à des collines. Vous verrez également quelques pompes à pétroles sur l’autoroute 1 en Alberta et en Saskachewan.

En direction de Calgary un peu après Medecine Hat, j’ai fait un arrêt à Brooks dans le but de voir l’aqueduc extérieur construit en 1912. Malheureusement, j’ai trouvé les indications difficiles et confuses et j’ai finalement quitté la ville sans l’avoir vu.

J’ai ensuite pris la direction vers Drumheller. Le paysage est encore une fois, fort différent du reste vu jusqu’ici. Les hoodoos (cheminées de fées) ont toujours leur charme. Cette région est également très riche en fossile de dinosaure. Selon les routes la limite de vitesse en Alberta peut variée de 80 km/h à 110 km/h.

Calgary… ville typique nord-américaine. Les routes y sont assez carrées. Et j’ai aimé avoir un GPS dans celle-ci pour mieux m’orienter. La tour de Calgary offre une belle vue sur la ville. J’y ai aimé la vue, mais je n’ai pas aimé laissé ma voiture sans surveillance dans la rue. L’endroit ne me semblait pas très sûr, vu le nombre de sans abri que j’ai croisé dans les rues en plein après-midi. C’est une réalité des grandes villes, mais je n’ai vraiment pas aimé voir ça et mon image de Calgary y est terni. En plus de savoir qu’ils sont plus de 2000 dans cet état. (Entendu à la radio ce qui ne m’a pas aidé également.)

Comme le temps passe très rapidement et que je veux coucher à lac Louise, j’enlève mon arrêt prévu au mont Tree Sisters à Canmore. Dès là, la vue y est magnifique. Les montagnes y sont majestueuses, les rivières sont turquoises… ah que c’est joli le parc National de Banff… … lire la suite.

L’autoroute est en voie double sur pratiquement toute sa longueur au Manitoba. Mais, ce n’est pas toujours le cas en Saskachewan. Par contre, de nombreuses sections d’autoroute sont en construction pour en faire une véritable autoroute. Lorsque la voie est double la limite de vitesse y est de 110 km/h, tandis qu’en voie simple la limite de vitesse descend à 100 km/h. La route passe également par quelques villages. La vue est typique des Prairies. Tout est vallonné et pour voir les « véritables prairies« , il faut quitter la transcanadienne. C’est là qu’on voit que des champs, il en a à perte de vue en Saskachewan. C’est véritablement joli et parfois presque surréaliste. Avec le vent, les champs semble se transformer en mer, vu l’effet de « vagues ». Bizarre comme effet, mais joli.

Mais, quitter la transcanadienne, c’est quitter la route principale. C’est se retrouver isolé. Car, les villages sont très éloigné les un des autres et par le fait même les postes à essences sont pratiquement absent. Et compter pas trouver de l’essence super (91 octane) dans ces petits villages. Parfois, pour réduire la distance entre les routes perpendiculaires, il sera préférable d’emprunter ces chemins de graviers, sans jamais quitter les yeux sur l’aiguille du réservoir d’essence.

C’est beau certes, mais j’ai été déçu de mon détour à St-Victor, car il a absolument rien à voir. Le paysage est différent, mais pour le temps perdu, cela ne compensait pas le trajet effectué. Par contre, la région des Badlands (mauvaises terres) qui commence dans les environs de Willow Bunch semblent fort intéressante. Mais, mon temps limité et surtout la crainte de manqué d’essence m’a poussé à quitté le plus rapidement possible cette région pour retrouvé la transcanadienne. Les prairies c’est beau… mais cela fini par être long. … lire la suite.

Les Prairies, Photos
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Les Prairies couvrent un vaste territoire qui touche les provinces de l’Alberta, de la Saskatchewan et du Manitoba. C’est principalement, c’est 2 dernières qui sont le plus touchés. Ce sont de belles terres relativement plates qu’on y retrouve. J’ai remarqué que les terres semblent plus plate au Manitoba que dans les autres provinces. En Saskatchewan, les terres sont plus vallonnées, mais sur de longue distance. Il faut réellement quitter l’autoroute pour se rendre compte de la gigantesque des terres agricoles. La province du Manitoba est plus boisé (surtout des conifères). En Saskatchewan, la culture du blé est reine.

Photos prisent le 18 juillet 2006:

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Saint-Victor est un petit village francophone d’environ 50 habitants dans le sud de la Saskatchewan près de Willow Bunch. Le parc historique de Saint-Victor se situe sur une montagne où l’on y retrouve des pétroglyphes illustants la vie des amérindiens.

Le déplacement pour voir les pétroglyphes ne veut pas la peine. Mais la vue à partir de la montagne est intéressante. Saint-Victor se trouve entre 2 zones distincts: les Prairies composé de belle terres et la région des Badlands (mauvaises terres). C’est région est plus aride et composé de petites « montagnes ». Je n’ai pu aller plus au sud, du à un horaire chargé, mais le sud de Saskatchewan semble valoir le détour.

Photos prisent le 18 juillet 2006:

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Les Prairies, Photos
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Régina est la capitale de la Saskachewan. La ville compte environ 180 000 habitants et c’est la 2e ville la plus populeuse de la province après Saskatoon (202 000 habitants.) Elle est situé à 250 km au sud de celle-ci. Contrairement à la région à laquelle la ville appartient (les Prairies), la ville est boisé. Cette « verdure » et l’architecture de la ville, lui donne un cachet particulier et agréable.

Photo prise le 18 juillet 2006:

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La route de Thunder Bay à Kenora est très longue et ennuyante. Comme le reste du parcourt en Ontario la limite de vitesse de 90 km/h, ce qui n’aide pas. Le secteur est très boisé. Par contre tout ceci change rapidement une fois rendu au Manitoba. La route devient alors une autoroute, où la limite de vitesse y est de 110 km/h. Le terrain est très plat et il a peu d’arbre. C’est les prairies! Comme, le vent vient souvent de l’ouest, la consommation d’essence s’en resent un peu, malgré la route sans relief. L’autoroute au Manitoba n’a rien à voir avec ce que l’on a au Québec. Oubliez la bretelle de sortie ou les viaducs sur celle-ci. Ils n’existent pas sauf près de Winnipeg. Il a même des kiostes de fruits sur le bord de l’autoroute!

Trajet du jour 3

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…et son histoire du rêve à la réalité!

L’ouest canadien… ah quelle belle partie du monde qui m’aura fait tant rêver. Depuis, la première fois que j’en aurais entendu parler, que j’en aurais vu des photos dans mes premiers cours de géographie à l’école. Comment ne peut être frappé par ces décors majestueux, ces plaines à perte de vues, ses montagnes au sommet enneigé, sa vu sur l’océan Pacifique… cela aura été le coup de foudre dès le départ.

Mais, j’en aurais mi du temps avant de réaliser mon rêve d’atteindre Vancouver. Depuis, l’adolescence que je dis à tout le monde qu’à 25 ans, j’irai voir Vancouver. Il aura fallu plus d’une dizaine d’années pour pouvoir respirer l’air de Vancouver. Et au final, il m’aura fallu un an de plus pour le réaliser ce bon vieux rêve.

Un an de plus pour le réaliser, mais on peut dire que cela aura été un an pour le préparer ce voyage de plus de 10 000 km. La préparation en tant que telle aura commencé en juillet 2005, lorsque sur un coup de tête, j’ai été m’acheter une tente pour aller voir le pont de la Confédération qui relie le Nouveau-Brunswick et l’ÃŽle-du-Prince-Édouard. Un périple qui m’aura permis de voir la distance que je peux faire en voiture. Puisqu’avant d’effectuer ce voyage le plus loin que j’avais été avec ma voiture c’est à Montréal et ce n’est même pas 200 km. Là durant ce séjour, j’aurais fait 2600 km en 4 jours, donc une journée de 1300 km. Donc, je savais que je pourrais faire le trajet jusqu’à Vancouver, sans que cela soit trop pénible.

Par le fait même ce voyage de 2005, m’aura permis de voir si j’allais aimer ça dormir dans une tente. Même si j’ai fait du camping avec mes parents depuis mon plus jeune âge, je n’avais jamais dormi avant dans une tente. Étant habitué dès mon jeune âge avec une tente-roulotte et dès 1990, mes parents ont eu une roulotte. Donc, dès là c’était du camping de luxe, avec matelas confortables, chauffages et télévision! Une simple tente allait-elle me convenir? J’aurais au moins découvert que ces petits matelas de mousse sont loin d’être confortables. Mais, à part ça, j’ai aimé ce beau petit voyage… mais là ce sera pour une autre « histoire ». Ce matelas de mousse aura été remplacé par un bon matelas pneumatique pour ce voyage, merci à ma soeur pour le cadeau en passant!

Sachant que la route ne posait pas de problème, de même que pour le camping, il me restait à voir si j’allais avoir le temps nécessaire pour le faire. Et c’est en mars 2006, que j’ai su que j’aurais finalement droit à mes trois semaines de vacances consécutives. Dès, la recherche de documentations à commencer sur le net. J’ai alors fait venir les guides touristiques en français et en anglais des 5 provinces que j’allais rencontrer dans mon voyage. L’Alberta aura été la plus rapide et par chance! Probablement la plus belle avec la Colombie-Britannique qui a également été rapide. L’Ontario par contre, c’est fait attendre tout comme la Saskatchewan, mais bon j’ai fini par recevoir ce que je voulais.

Une fois la documentation trouvée, il me restait à m’y préparer. En 2005, le voyage avait … lire la suite.